1. Le petit bois, la petite maison de bois et le petit pont de bois. (2)


    Datte: 19/04/2018, Catégories: Divers, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... son bain, le soleil était déjà haut. De grands bruits se firent entendre non loin du petit bois. Toute nue, elle se précipita vers la petite maison, y récupéra son couteau et bondit en direction du bruit, mais les loups plus rapides arrivèrent avant elle à l’orée du bois en hurlant si fort que les intrus s’arrêtèrent net. Elle arriva en agitant son couteau si brillant qu’il renvoyait les rayons du soleil vers les assaillants. En guerrière, elle imita les loups : elle poussa un hurlement si fort et si strident que les brigands en eurent les tympans crevés, dit-on. Les importuns se mirent à courir et détalèrent comme des lapins en abandonnant les quelques instruments qu’ils avaient en main. Pour terminer le tableau, deux aigles royaux déboulèrent du firmament et foncèrent vers la bande d’intrus comme des boulets de canon. Ils en chopèrent un par les épaules et l’emportèrent si loin qu’on ne le revit jamais.
    
    Alors, profitant de la situation et sous la protection des loups, elle récupéra leur armement et remercia allègrement ses protecteurs, s’amusant avec eux un long moment. Elle joua aussi avec les deux petits louveteaux grands comme deux mains qui explorèrent avec intérêt ce drôle d’animal tout blond, tout blanc et sans poils, mais pourvu de nichons. La belle jeunette fut surprise de sentir les deux petites bestioles lui téter les seins, lui mordiller les arpions puis lui lécher le croupion. Ce fut une drôle d’action, mais si agréable qu’elle déclencha en son sein une ...
    ... terrible sensation, la même qu’elle s’était donnée la veille. Alors elle se laissa lécher le croupion et téter les nichons jusqu’à l’orgasme.
    
    Les jours passèrent agréablement. Mais voilà que par un bel après-midi où, la belle allongée sur le ventre se faisait rôtir l’oignon, un bruit de pas se fit entendre sur le petit pont de bois. La jeunette sursauta car ni les loups, ni personne n’avait donné l’alerte. D’un bond elle se leva et vit un homme ; elle cacha maladroitement sa nudité, une main sur sa toison et l’autre sur ses nichons. Tétanisée, elle fixa l’intrus, prête à sortir ses griffes car point de couteau : il était resté planté sur la table de la maisonnette.
    
    L’homme qu’elle ne reconnaissait pas fit un pas vers elle, et elle un pas en arrière. Il lui tendit les bras ; elle ne bougea pas. L’inconnu se tourna et baissa son pantalon, exposant ainsi à la belle étourdie son derrière. Là, elle reconnut sur les deux fesses de l’inconnu les blessures que son couillon de père avait faites avec sa fourche à fumier. Elle se mit à trembler car l’homme qu’elle venait de reconnaître était armé d’une épée. Croyant sa dernière heure arrivée, elle se mit à pleurer.
    
    L’homme se retourna, tira son épée, la planta dans le sol, puis avec un large sourire il ouvrit sa chemise et montra ainsi son torse puissant. Faisant valser son pantalon, il exhiba son membre gonflé d’envie et ses bourses prêtes à éclater. Les yeux écarquillés, elle dévoila alors sa nudité et sauta dans les bras de son ...