Le petit bois, la petite maison de bois et le petit pont de bois. (2)
Datte: 19/04/2018,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
À bout de souffle, elle entra dans le bois et s’y cacha en attendant que les deux bourrins repartent. Un tronc d’arbre ressemblant à un visage lui souriait ; elle s’y adossa, ferma les yeux et se repassa la scène de ces deux loustics en train de se bastonner pour arriver à la niquer en premier.
Bizarrement, ces images lui réchauffaient le ventre et petit à petit une envie assez étrange l’envahit. Cela se situait à l’endroit précis où le beau jeune homme lui avait introduit sa bistouquette. Et, nom de nom, voilà que sa minette était en feu ! Que faire ? Machinalement, elle leva le bas de sa jupe et découvrit sa zézette qui était déjà tout humide. Elle fronça les sourcils en se demandant ce que pouvait bien être ce liquide si chaud. Elle le recueillit du bout des doigts, le regarda, le renifla, et le goûta ; il n’était ni bon ni mauvais, un peu amer, mais sans trop. Mais il n’y avait pas que cela, car quand elle toucha sa minette un fort courant électrique remonta jusqu’à ses pommettes, ce qui la fit frissonner.
Elle recommença, toucha encore sa minette, et un nouveau courant encore plus fort secoua tout son corps. Ses seins devinrent fermes, ses petits tétons pointèrent vers le ciel, et une immense sensation de plaisir l’envahit. Elle était si douce, si agréable qu’elle décida de se mettre toute nue. Elle jeta au loin le peu de vêtements qu’elle avait sur elle et s’installa assise sur sa cape, adossée au tronc, et se caressa les seins à deux mains. Elle les ...
... malaxait, les étirait, et faisait rouler ses tétons durs comme la pierre entre ses doigts, mais sa minette pleurait d’envie et son ventre la suppliait d’agir.
Ses deux mains descendirent et remontèrent plusieurs fois sur son ventre qui ondulait à chaque passage. Arrivées à son abricot, ses mains ne suffisaient plus ; il fallait partager entre les tétons et la minette : elle caressa et malaxa les uns et les autres à tour de rôle. Et, passant de sa minette à sa… son con, elle enfonça deux, puis trois doigts au plus profond de son antre, ce qui déclencha en elle un véritable séisme. Son ventre en feu explosa de jouissance, elle fut secouée comme une poupée de chiffon. À moitié allongée contre son arbre, les yeux clos, elle était dans les nuages. Ses cuisses se refermèrent sur sa main, ses doigts torturèrent ses seins et ses mamelons, ses lèvres tremblèrent ; son plaisir durait, durait pendant un temps indéfinissable…
Un bruit la fit sursauter ; elle bondit, couteau à la main, mais rien : juste deux lapins venus assister au spectacle qui s’enfuyaient. Elle alla jusqu’à l’orée du bois et constata que les deux hommes avaient disparu. Comme elle se trouvait bien comme ça, toute nue dans le petit bois, elle décida d’explorer cet endroit. Ne sachant pas où aller, elle se dit qu’elle pourrait très bien rester ici ; il lui fallait juste un abri le temps de réfléchir à la situation. Elle prit alors un chemin au petit bonheur, et comme par hasard elle tomba sur un petit pont de bois qui ...