1. Une charmante voisine


    Datte: 19/09/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, copains, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme 69, pénétratio, fsodo, init, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... fait pour eux. Je leur ai dit que c’était dégueulasse, mais ils se sont moqués de moi. Je suis bien contente que tu les aies ridiculisés. Chloé se moquait toujours de moi.
    — Pourtant, crois bien que j’aurais volontiers fait l’amour avec la plupart d’entre vous, surtout toi, mais tu me paraissais intouchable.
    — C’est vrai, je fais un peu peur aux garçons. J’aurai aimé que tu me baratines, mais tu restais dans ton coin. Je t’aurais peut-être cédé.
    — Si tu veux, je peux encore le faire ; seulement ce que tu m’accorderas.
    — Mais j’ai toujours peur de toi. Je t’admirais quand tu lui donnais du plaisir, mais c’est la dernière partie qui m’a effrayée.
    — Mais nous pourrions simplement nous embrasser dans un coin tranquille.
    — Je n’ai jamais vraiment embrassé de garçons.
    — Viens, c’est le jour d’essayer.
    
    Tous deux sont rentrés dans la maison, ont trouvé une chambre et se sont enfermés à clé pour éviter les importuns. Puis doucement il lui a pris la bouche comme lui a appris Emma. Quand il l’a relâchée, elle lui a murmuré « merci ». C’est elle qui a saisi à nouveau la tête d’Hervé pour renouveler cette caresse.
    
    Bientôt ils se sont retrouvés sur le lit, dans les bras l’un de l’autre. Il lui a caressé la poitrine ; elle n’a rien dit. Soulevant le polo, il a sorti les seins de leur prison. Avant de continuer, il a regardé le visage de sa compagne. Les yeux fermés, elle haletait doucement. Il a alors soulevé la jupe, sans qu’il y ait de réaction. La main sur la culotte, il a ...
    ... frictionné le clitoris. Elle a gémi doucement. Mais quand il a voulu glisser sa main à l’intérieur du sous-vêtement, elle lui a dit non. Alors avec son doigt, de l’extérieur, il a seulement gratté son bouton jusqu’à ce qu’il parvienne à la faire jouir. Elle s’est détendue. Il l’a embrassée sur la joue.
    
    Souriante, elle lui a dit :
    
    — Merci. Je ne voulais pas que tu me baises, et tu l’as compris.
    — Je t’avais promis que j’irais jusqu’où tu voudrais. Tu as bien fait de m’arrêter.
    
    Ils ont remis de l’ordre dans leur tenue et sont sortis main dans la main. Les autres garçons l’ont regardé avec envie.
    
    Comme prévu, la soirée s’est terminée vers vingt-deux heures. Les parents sont venus récupérer leurs enfants. Hervé, n’habitant pas très loin, était venu à pied. En partant, ses camarades lui serrent la main pour les garçons, ou l’embrassent ; mais on sent un sentiment d’envie, de gêne ou de regret d’avoir laisser passer un si beau morceau.
    
    Chloé est venue la dernière. Il l’a embrassée sur les joues d’une manière amicale. Elle le regarde longuement et lui dit :
    
    — Tu es un drôle de bonhomme. Je te prenais pour un naïf, un demeuré, et je comptais bien m’amuser. Mais dès le premier baiser j’ai compris qui était le patron. Tu m’as fait jouir comme jamais aucun homme n’y était parvenu. J’allais d’orgasme en orgasme, j’aurais voulu que cela ne cesse jamais, jusqu’au moment où…
    — Je reconnais que je n’aurais jamais du faire cela. Mais j’étais dans une colère froide, et si je ...
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