1. Une charmante voisine


    Datte: 19/09/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, copains, amour, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme 69, pénétratio, fsodo, init, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... chambre. Personne n’entre sans frapper quand il travaille. Enfin, « travaille »… Il suit assez facilement dans sa section technique, et le travail terminé, souvent il plonge sur Internet ou dans la lecture de bouquins qui n’ont rien à voir avec le programme. Ou alors il rêve. Il fait l’amour à Emma. C’est vrai qu’elle a trente-quatre ans, seize de plus que lui ! Mais son rêve, c’est de la baiser.
    
    Comme le lui a demandé sa mère, il a expliqué le fonctionnement du collège à la petite. Par la même occasion il lui a donné des idées pour son devoir de français. Mylène est folle de joie et l’embrasse, même.
    
    — Allez, sors vite, laisse-moi travailler, je suis en retard.
    — Oui Hervé, tu es drôlement gentil, je t’aime.
    
    « Ouf, enfin ! Je liquide ce devoir de maths ; ce soir je pourrai aller sur la toile. »
    
    Deux jours plus tard, il attend sa voisine, se baisse pour son lacet. Elle s’arrête et l’attend.
    
    — Tu devrais changer de lacet ou bien de chaussures, tous les jours tu es obligé de le renouer.
    — Oui, je vais le faire.
    — À moins que ce soit pour passer derrière moi, mais je n’en vois pas l’intérêt, si ce n’est de voir mon cul, qui n’a rien d’intéressant, sauf pour les hommes. Mais je pense que ça ne te préoccupe pas encore. Remarque, tu as la taille et la corpulence, mais tu t’intéresse plutôt à tes copines qu’à une vieille, n’est ce pas ?
    — Euh… oui. Bien que ce ne soit pas commode au lycée ; et puis il n’y en a pas beaucoup en section technique. Tandis que ...
    ... vous…
    — Je t’ai déjà dit de me tutoyer ; ne sois pas ridicule, on croirait presque que nous sommes une mère et son fils. Viens, montons.
    
    « Je ne peux pas rester derrière elle : ce serait avouer que c’est pour son cul. Mais elle l’a déjà deviné et s’amuse de moi. Il me faudrait lui avouer ; peut-être qu’elle consentirait à me considérer comme un homme… »
    
    Emma s’est confiée un jour à maman. Elle vit seule avec sa fille Mylène. Elle est divorcée depuis plus de dix ans ; son mari n’a pas accepté qu’elle lui ait fait un enfant sans le prévenir, « dans le dos » comme il lui a dit. Pourtant, il s’est remarié et a deux enfants. Un week-end sur deux il prend sa fille. Mylène est heureuse d’y aller et retrouve là-bas un petit frère et une petite sœur avec qui elle peut jouer. De plus, son papa la gâte.
    
    Depuis trois ans qu’elles habitent dans l’immeuble, maman garde la petite le soir, ce qui permet à Emma de travailler normalement. Mais Mylène vient d’entrer en sixième, et les horaires sont irréguliers ; alors elle vient quand sa mère n’est pas là et se considère comme chez elle dans notre appartement.
    
    « Depuis la mise au point de l’autre soir, je n’ose plus la suivre, et monte à ses côtés. Cela me prive du magnifique spectacle, mais par ailleurs je suis un peu plus détendu avec elle et, durant ce court instant, j’ose aborder des sujets plus personnels. Elle a compris que je n’avais jamais osé embrasser une fille ni naturellement lui parler d’amour. Elle me donne des conseils, me ...
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