1. Cousins..., cousines, tante (3)


    Datte: 19/09/2020, Catégories: Masturbation Première fois Inceste / Tabou Auteur: wolfie91, Source: xHamster

    ... l’abondance de crème s’étant figé sur son minois, des cheveux jusqu’au menton. Je m’en excusai, mais elle me signifia qu’elle en était heureuse et qu’elle se sentait femme, grâce à cela… Elle finit par me les lâcher et alla se doucher, en me conseillant d’en faire autant, vu que mon ventre et mes cuisses ressemblaient à un marécage. Je la rejoignis sous les traits d’eau revigorants, et elle se colla à moi…
    
    Après un long moment, elle murmura à mon oreille :
    
    « Merci…, aucun garçon n’a voulu de moi jusqu’à ce jour…, à cause du fait que je n’ai pas de poitrine, de toute évidence, toi, ça ne t’as pas empêché de jouir… ! .. Et j’en suis heureuse. ! »
    
    Elle resta collée à moi, ses mains me frottèrent le bas-ventre, à la recherche de la moindre trace de sperme.
    
    Puis, elle me saisit les breloques en pleines mains et commenta :
    
    « Elles sont vraiment grosses, hein…, j’ai l’impression qu’elles sont aussi lourdes qu’avant… ! .. Tu ne serais pas déjà plein de jus de couilles bien chaud ? .. Je vais mettre ta bite contre ma chatte et te frotter contre jusqu’à ce que l’on jouisse ensemble… ! ..Qu’est ce que tu en dis ? »
    
    Ce n’était pas vraiment une question, saisissant ma queue déjà en goguette, elle appliqua mon bout contre son clito, la faisant gémir… Puis me coinça entre ses cuisses, et me saisissant les fesses, elle commença à nous masturber tous deux. Son visage plongé dans mon cou, elle ...
    ... promenait ses lèvres sur la peau sensible de ma gorge. Sa main libre, se baladait avec aisance sous mes couilles, à la recherche de points sensibles, qu’elle trouva sans peine. L’eau dégoulinait sur nous, mais cela ne m’empêchait pas de sentir que sa mouille brûlante m’enrobait la bite, tendue à l’extrême. À chaque fois que mon gland passait devant son entrée féerique, il accrochait, mais in extremis, ne rentrait pas, cela était suffisant à elle et à moi pour nous faire grogner telles des bêtes aux abois. Me cajolant les pruneaux et sans décoller sa bouche, elle me précisa, en feulant :
    
    « Ahhh…, non…, je peux pas la faire rentrer maintenant…, je suis en pleine ovulation… ! .. C’est pour cela que ma chatte pleure comme une fontaine…, désolée… ! .. À moins que tu veuilles être papa… ! »
    
    Je lui saisis ses petites fesses de gamine, et en trois coups de reins, je nous terminai tous les deux… Elle m’urina dessus, dès que mon sperme lui lacera la vulve grande ouverte… Elle feula telle une tigresse… Elle me mordit le lobe de l’oreille à l’en faire saigner. Elle me finit les saccades à la main, me faisant juter sur son clito. Un fois assouvie, elle me glissa dans l’oreille :
    
    « Y a peut être du jus de couilles qui a pénétré dans mon trou…, tu seras peut-être papa ! »
    
    Elle explosa de rire, et plongea dans la piscine… Je la rejoignis et nous batifolâmes comme des gosses…, sauf quand elle me tirait par la bite… 
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