1. Cousins..., cousines, tante (3)


    Datte: 19/09/2020, Catégories: Masturbation Première fois Inceste / Tabou Auteur: wolfie91, Source: xHamster

    Cela faisait maintenant un bon moment que ma chère cousine ne parlait plus…
    
    Lunettes de soleil sur le nez, elle semblait s’être endormie.
    
    Ayant toujours son bas-ventre en vue, mais je ne pouvais rien voir, puisque elle était là, étalée en amont de moi. Je remarquai ses jambes plus largement ouvertes et offertes que d’habitude. J’échafaudai un plan, qui me permettrait de visualiser ma première chatte… Enfin. Je me levai et allai en direction de la douche, afin de me rafraîchir… Passant devant elle, je jetai un œil innocent à son entre-jambe, semblant de rien. Je n’osai m’attarder, au cas où, de derrière ses verres fumés, elle serait en train de me surprendre. Ses cuisses étaient pourtant assez largement écartées, au point de pouvoir recevoir tout un bataillon de légionnaires lubriques… Pourtant, ses maudits poils m’empêchaient d’apercevoir quoi que ce soit… Au retour, je décidai de m’attarder plus longtemps devant elle, au risque d’être surpris.
    
    Non… Il n’y avait rien à faire, sa foret vierge était aussi drue, qu’une giclée de sperme entretenue par Onanisme.
    
    Déçu, j’allai m’étendre sur ma couche, lorsqu’un grognement me fit sursauter… Rebecca, se leva et jeta ses lunettes à terre, fort énervée :
    
    « Bon…, tu ne vas pas me pister la chatte à chaque fois que je décolle les genoux… ! .. On dirait que tu n’en as jamais vue !!! Suis-je bête…, mais c’est le cas, puisque tu es puceau ! .. Tu me fais l’effet d’un obsédé sexuel en manque de victimes. ! .. Allez…, on va ...
    ... crever l’œuf dans l’abcès…, ou le contraire ! »
    
    Je la vis arriver vers moi et redoutai le pire. En quelques instants, je me promis à moi-même, de ne pas rendre les coups, galanterie oblige.
    
    Pour la calmer, je lui lançai :
    
    « Mais non, avec tes poils on voit absolument rien…, promis !!! »
    
    Arrivée à hauteur de mon visage, elle leva une jambe, m’enjamba et posa le pont de ses jambes à moins de dix centimètres de mon nez.
    
    Les doigts de ses deux mains, agrippèrent d’énormes touffes de poils et la porte de sa salle de jeux pour adultes s’ouvrit devant mes yeux ébahis.
    
    La première chose qui me sauta au visage…Enfin si je puis dire, ce fut un énorme éperon de chair, emmêlé dans deux grands draps de satin couleur rosée, descendant vers l’antre miraculeux et débordant avantageusement de ses grandes lèvres.
    
    L’humidité qui se dégageait de son antre à prépuces, m’enivra d’une nuée d’effluves odorantes et sucrées, me rappelant le vendredi, lorsque maman faisait "moules-frites". J’étais au paradis, lorsqu’une voix grondante et tonitruante me sortit de ma léthargie :
    
    « Voilà…, ça te va, là…, prends des photos, des notes, imprime même si tu veux…, mais arrête de me pister comme une bête curieuse… ! .. Bon !!! Je peux refermer ma boite de Pandore ? »
    
    Elle leva une jambe et pivota, me retirant cette vue sublime. Elle allait s’éloigner, lorsque se ravisant, revint en arrière et repassa une jambe au-dessus de mon nez, mais de dos, me montrant ses fesses. Se cambrant en ...
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