1. Cousins..., cousines, tante (3)


    Datte: 19/09/2020, Catégories: Masturbation Première fois Inceste / Tabou Auteur: wolfie91, Source: xHamster

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    J’aurais eu mauvaise conscience à refuser et fit oui de la tête… Elle se colla le pubis contre le mien et ses lèvres vinrent asticoter les miennes. Heureusement, j’avais le d****au en berne et mon sexe, en reprenant son envol, se coinça entre ses cuisses, le dos contre le sillon de sa chatte chauve. Sa mère devait être une femme d’une très grande expérience et une pédagogue accomplie. Après moins de cinq secondes, je pensai que j’allais pouvoir soulever ma cousine rien qu’avec ma queue. Certainement qu’elle avait ressenti l’intérêt que je lui portais, car ses cuisses s’écartèrent un peu plus et elle glissa sa fente sur le dessus de ma hampe en miaulant comme une bête blessée. Sans en avoir l’air, son bassin commença à osciller d’avant en arrière, me procurant des sensations jusque là inégalées par mes nombreuses branlettes solitaires. Au bout de quelques frémissements, une douche chaude et abondante, me noya tout le bas-ventre et dégoulina sur mes testicules… Elle desserra les lèvres pour s’excuser :
    
    « Excuse moi, Juli…en, ooohh, mais je mouille beaucoup trop… ! »
    
    Ne voulant pas être en reste, moi :
    
    « Euh…, non, ce n’est pas grave…, tant pis ! »
    
    Ses dents enserrèrent ma langue, et m’obligèrent à la sortir à l’extérieur…
    
    Elle se mit à me la sucer telle une bite en érection… Des décharges électriques envahirent toute mon âme…, donc, ma queue et mes couilles. Elle me lâcha un instant, et grommela :
    
    « Tu sais, si tu veux, je peux faire la même chose à ton ...
    ... sexe…, maman m’a montré en le faisant à mon majeur… ! .. Et si tu craches dans ma bouche, ben…, c’est pas grave ! »
    
    Moi, abruti, débile profond, et âne d’Abyssinie :
    
    « Oh non Reb…, nous sommes cousins, ça ne se fait pas…, ce serai un i****te… ! »
    
    Avant de me lâcher les fesses qui lui servaient de prise, toujours à cheval sur le dos de ma bite, elle se remit deux ou trois coups de ma longueur et sans dire mot, s’éloigna. Je réécoutais les conneries que je venais de dire, et faillis me claquer la tronche sur un angle de mur.
    
    Je la rejoignis prés de la piscine, elle avait remis ses lunettes et ne m’adressa plus la parole, au moins pendant trente secondes. Elle se leva, vint s’agenouiller près de moi, avec un flacon d’ambre solaire. Elle me demanda de me coucher sur le ventre, je sentis le liquide parfumé à la noix de coco s’écouler sur mes fesses. Ses mains étaient d’une douceur infinie, elles virevoltaient, tels des oiseaux de paradis sur ma chair intime. Lorsqu’elle entreprit l’intérieur de mes cuisses, elle me frôla de plus en plus les testicules, puis remontant, ses doigts enduisirent de miel l’intérieur de ma raie et, délicatement, passèrent semblant de rien, sur mon humble anus. Elle me demanda de me retourner… Avant d’obéir, je lui fis part de mon érection et elle haussa les épaules en signe de manque d’intérêt… Je me retournai, et lui soumis mon invalidité passagère… Elle étouffa un rire et reprit une dose de produit massant. Elle commença par le haut de mon ...