1. Timidité maladive


    Datte: 17/09/2020, Catégories: fh, fplusag, couleurs, voisins, complexe, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, init, confession, inithf, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... bien que le plaisir que je sentais monter en moi venait bien d’elle, de ce qu’elle faisait, de ce qu’elle disait, de son regard. Elle a hurlé de plaisir avant de se pencher vers moi, de prendre mon gland dans sa bouche et de remplacer ma main par la sienne. J’ai voulu me débattre, la prévenir que je ne tiendrais pas très longtemps, mais elle a pris le contrôle. Accélérant quand j’avais du souffle, se figeant quand elle sentait mes couilles se contracter, elle a réussi à me faire venir tout doucement. Enfin, tout doucement, ce n’est pas le terme. Disons qu’elle a réussi à me tenir assez longtemps par rapport à mon habitude. Puis quand elle en a décidé ainsi, elle n’a pas ralenti en sentant mon scrotum se tétaniser. Au contraire, elle a descendu sa bouche aussi loin qu’elle pouvait en caressant mes bourses d’une main pendant qu’elle me branlait la base du pénis de l’autre, et ne m’a pas laissé me retirer. J’ai joui dans sa bouche, joui longuement, très fort, en apnée, sidéré par le plaisir, transpercé par le bonheur.
    
    Elle m’a embrassé avant que je ne reprenne mes esprits, puis est sortie de ma voiture, comme pressée de partir. Je l’ai vu s’arrêter soudain, se tourner vers moi, le regard triste, et m’envoyer un baiser de la main avant de reprendre son chemin.
    
    J’ai mis du temps à accepter que ce n’était pas un rêve. Pour la première fois de ma vie je venais d’avoir une relation sexuelle. Certes, elle ne m’avait pas demandé de la prendre. Certes, je ne m’étais pas allongé ...
    ... sur elle pour la pénétrer. Notre intimité avait été relative, partielle, incomplète. Mais la communion de nos esprits – du moins c’est ce que j’avais ressenti profondément – avait été totale. J’aurais pu me sentir frustré mais ce ne fut pas le cas. L’angoisse a presque aussitôt pris tout de même le pas sur le bonheur, l’angoisse de ne plus la revoir, celle aussi de l’avoir déçue, peut-être.
    
    En reprenant ma place derrière le volant, j’ai découvert un papier posé vers le levier de vitesses : « 42567A pour ouvrir le portail. Porte d’entrée ouverte. Ma chambre est au 1er étage à gauche. Je suis seule chez moi jusqu’à midi. »
    
    Son odeur était présente dans la maison dès le pas de porte franchi. Une lampe éclairait faiblement l’entrée et l’escalier central. Je suis monté, tremblotant et maladroit, manquant plusieurs fois de descendre en trébuchant. La porte de sa chambre était ouverte, donnant sur une pièce elle aussi faiblement éclairée.
    
    Nadège était assise dans son lit, adossée à d’épais oreillers, la couette remontée jusqu’aux épaules, un sourire magnifique accroché à ses lèvres charnues.
    
    Je me suis échappé vers 11 heures 30, douché, heureux, sautillant de joie, ivre de bonheur.
    
    Elle m’avait laissé découvrir son corps, la goûter, la caresser, la prendre avec tendresse puis la défoncer avec fougue. Elle m’avait à nouveau sucé, puis caressé et aimé avant de me demander ce qu’elle attendait de moi, puis de me féliciter. Elle m’avait plusieurs fois maintenu en elle alors ...
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