1. Timidité maladive


    Datte: 17/09/2020, Catégories: fh, fplusag, couleurs, voisins, complexe, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, init, confession, inithf, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... m’approcher elle s’est levée et est venue se blottir contre moi. Ce petit bout de femme, fragile, légère, qui sentait bon comme le printemps, elle était là, contre moi, et je l’ai serrée fort. C’était pour moi un geste amical, le geste d’un jeune homme reconnaissant envers celle qui lui avait permis de parler un peu de ses problèmes sans avoir l’impression d’être jugé.
    
    Quand elle a relevé son visage vers le mien, j’ai senti que ça n’avait pour elle rien de purement amical. Elle volait ma bouche. J’ai senti mon cœur s’emballer quand elle a posé ses lèvres sur les miennes. Elle savait que j’étais novice, et du coup je me suis laissé guider de bonne grâce. Sa langue dans ma bouche, des mains qui caressent mon torse sous la chemise, son bassin qui se colle au mien, il ne m’en fallait pas davantage pour me rendre dingue, mais je me refusais à tout mouvement brusque, de peur de briser le charme. Puis j’ai senti sa main descendre entre mes cuisses pour d’abord évaluer la situation, puis très vite s’insinuer dans mon pantalon pour vérifier. Je n’ai pas eu le temps de la prévenir. Elle avait à peine entré sa main dans mon boxer qu’une décharge incontrôlée est venue lui souiller les doigts.
    
    — Déjà ?
    — Désolé…
    — Il ne faut pas. Je suis très honorée. Puis c’est un peu comme le shaker, m’a-t-elle dit en riant.
    
    Sa main a continué de me caresser malgré tout, douce et soyeuse, chaude et experte. J’ai fini par oublier l’incongruité de la situation en osant à mon tour promener mes ...
    ... mains sur ses seins.
    
    Elle m’a demandé d’ouvrir ma voiture et m’a attiré à l’arrière avec elle. Il n’y a pas beaucoup de place dans ma 207 pourrie, mais assez pour qu’elle s’adosse à la portière gauche, les jambes tournées vers moi.
    
    — Alors tu t’es masturbé en pensant à moi ? me dit-elle avec un petit sourire narquois.
    — Oui, Madame.
    — Arrête de m’appeler « madame » et regarde-moi. Regarde-moi et caresse-toi.
    
    En prononçant ces mots, elle avait replié ses genoux et relevé sa jupe, dévoilant ses jambes, ses cuisses, son intimité. Elle a écarté sa culotte blanche d’un doigt, plongeant un autre doigt au contact de son sexe. J’avais vu ça dans des films déjà, des femmes qui se touchent, mais là, ce n’é tait pas un film, mais un personne, une vraie, qui me montrait sa chatte et qui se la touchait.
    
    — Allez, sors ton sexe et caresse-toi toi aussi.
    — …
    — Il est très gros, dis-moi ! C’est bien ce qui me semblait.
    — Vous trouvez ?
    — Je trouve, oui. Branle-toi.
    
    La soudaine vulgarité de cette femme aux cuisses ouvertes m’a instantanément remis en route. La voir se masturber, se caresser le clitoris, se mouiller les doigts pour les entrer dans sa vulve, l’entendre souffler de plus en plus fort, sentir l’odeur de son sexe, ce n’était pas un rêve. Et je m’astiquais avec un plaisir infini en la regardant prendre son plaisir. Quand elle m’a dit qu’elle allait jouir, je me suis dit que je n’y étais pour rien, qu’elle se faisait plaisir toute seule. Et en même temps je savais ...
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