1. Educatrices Ch. 10


    Datte: 16/09/2020, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica

    ... cassette qu'elle glissa vivement dans son petit coffre personnel
    
    Elle paraissait si confuse, si agitée, qu'elle en oublia de le refermer à clé
    
    Sûre qu'il avait épié tous ses mouvements, qu'il s'était bien rendu compte de son "oubli", elle hoqueta :
    
    -Francis... Je ne t'attendais pas si tôt... Les enfants vont arriver... Je... Je regardais la télé... Je vais me changer... Prends un siège... Ils vont arriver... Et rapidement elle se glissa hors de la pièce, lui laissant le champ libre.
    
    De sa chambre, par la porte restée entrebâillée, elle pouvait l'épier, surveillant ses gestes dans un miroir qu'elle avait mis deux jours à orienter parfaitement.
    
    Avec joie, elle le vit dès son départ se glisser furtivement jusqu'au petit coffre, l'ouvrir et s'emparer avec décision des deux cassettes et de l'album qu'il recelait.
    
    Enfin ça y était, si avec ça il ne cherchait pas à la soumettre à ses dé-sirs, c'était à ne plus rien y comprendre, songeait-elle ravie, la balle était dans son camp, à lui de la contraindre maintenant.
    
    Il ne lui restait plus qu'à attendre son bon vouloir, il avait là tous les ar-guments propres à faire chavirer même la plus honnête des femmes.
    
    Francis n'avait plus qu'une hâte, se débarrasser au plus vite des deux petits gêneurs pour courir dans sa chambre visionner la totalité de ces films si alléchant s'il en croyait les quelques images entraperçues.
    
    Des pas retentirent, en souriant elle l'entendit prétexter d'une migraine subite pour ...
    ... reporter l'activité prévue.
    
    Francis une fois parti, elle ne vérifia même pas son coffret sûre du larcin et s'occupa dans la plus grande allégresse de ses enfants.
    
    Un jour, deux jours, trois jours passèrent, Francis, qu'elle avait croisé à plusieurs reprises ne se manifestait toujours pas...
    
    Allons bon, elle allait encore devoir saisir le taureau par les cornes, était il possible de se montrer si timoré?
    
    Avec les preuves qu'il avait en main...
    
    Enfin...
    
    Le mardi, comme, par hasard il entrait dans la cuisine, il la trouva san-glotantes, la tête entre les mains elle laissait cours à un pseudo chagrin.
    
    Il ne pouvait se douter que depuis tôt le matin, un oignon à portée de main, elle guettait son arrivée!
    
    Avec douceur, il s'informa :
    
    -Madame... Madame Françoise... Que vous arrive-t-il... Un pro-blème? Un accident?
    
    -Non... Non... Renifla-t-elle pitoyablement, et lui prenant la main, comme à bout de résistance, elle se confia, le choisissant comme confident .
    
    -J'avais dans mon coffret des... Des documents compromettants... Et... On me les a... Dérobés... Je ne sais pas qui... J'ai peur... Si mon mari... Mes enfants venaient à les voir... Je serai... Je serai perdue...
    
    -Allons... Françoise... Feignit il de la consoler, entrant dans son jeu, soudain décidé à battre le fer tant qu'il était chaud.
    
    -Ces documents... Qu'ont-ils de si dangereux, que vous ne puissiez? Soyez plus claire... Je cherche à vous aider, mais si je ne sais pas... Pour ça... Il me faut ...
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