1. Dieu est mort


    Datte: 16/09/2020, Catégories: A dormir debout, Auteur: Zeppo, Source: Hds

    ... de la journée. Apparemment, c'était la grande soeur d'une amie de mon filleul, qui avait été embauchée pour la journée. Elle connaissait plusieurs personnes et leur servait quasiment autant de gâteaux apéro que de citations de la Bible. Ça aurait dû me refroidir. Je l'ai été, d'ailleurs.
    
    Jusqu'au moment du discours du parrain. Bon, la religion, les communions, c'est pas trop ma tasse de thé. Mais ce gamin, je l'adore. Je m'en suis beaucoup occupé à sa naissance. Il est mon cousin et quasiment voisin. Le médecin avait diagnostiqué un cancer du sein à sa mère sur la fin de la grossesse. On peut pas vraiment dire qu'il a été accueilli dans les meilleures conditions. Ils insistaient pour me payer, mais moi, j'adorais venir m'occuper de lui. Et je pense être le parrain que tout le monde rêve d'avoir, sans vouloir me vanter. Celui à qui tu peux t'identifier en tant qu'image paternelle mais à qui tu peux aussi tout dire. Je suis un peu son grand frère qui aurait quinze piges de plus.
    
    Donc, il y a eu ce discours, où j'ai exprimé tout mon amour pour ce gosse de douze ans. Et elle m'a regardé, putain. Si j'avais pas été debout en public, je crois que j'aurais bandé. Et une fois qu'elle s'est intéressée à moi, je pouvais plus la lâcher. Elle m'a cassé les couilles avec sa Bible, mais franchement, j'écoutais plus vraiment. J'ai fini par l'amener chez moi en prétextant de la ramener chez elle. Et la voilà qui gémit délicieusement sous mes assauts. Ses contractions sont de plus en ...
    ... plus fréquentes. Je ne ralentis pas, je ne ralentis plus. Je veux voir ses yeux jouir. Et je sens que ça vient!
    
    - Mon Dieu, je vais jouir!
    
    J'y crois pas. Je me démène comme un dératé depuis bien dix minutes entre ses cuisses, sans compter le cunni où je me suis appliqué alors qu'elle arrêtait pas de rejeter sa tête en arrière en se cambrant, m'empêchant de voir ses yeux... Et voilà que son putain de Dieu revient sur le tapis. Je me rends compte que j'ai sûrement trop bu. En temps normal, j'aurais laissé couler. Mais va savoir pourquoi, c'est sorti tout seul:
    
    - Il est mort, putain! C'est moi qui te baise!
    
    Ses yeux se sont ouverts tout ronds. Je continue de la limer, mais je pense que c'est foutu. Je tente de me pencher en avant et vient l'embrasser à pleine bouche. Et ça marche. Mon bassin se met à aller et venir, ma queue plongeant en elle avec une force que je ne maîtrise pas vraiment. D'aussi près, ses yeux sont encore plus beaux. Elle lâche un cri étouffé par mes lèvres sur les siennes, entoure mes hanches de ses jambes et me serre dans ses bras, au point que ses ongles me labourent le dos.
    
    Ça fait mal, mais c'est bon. Putain que c'est bon! C'est comme si son vagin me trayait. Par à-coups. Oublié, Dieu. C'est vraiment avec moi qu'elle est. Ses ongles me font mal et vont me faire jouir. Je reste bien au fond d'elle, dégustant chaque sensation que son regard m'envoit. Je n'ai même pas le temps d'attendre en elle qu'elle arrête de se contracter. Je recule mon ...