L'oeil
Datte: 18/04/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
train,
cérébral,
pénétratio,
fsodo,
occasion,
extraconj,
Auteur: Le jeune homme vert, Source: Revebebe
... excitation. Alors, le voyageur écarte les pans de sa chemise et empaume les gros seins. Il les pétrit à pleines mains et les bouts gonflés durcissent encore un peu plus sous ses doigts. Il la serre contre la cloison et s’empare de sa bouche. Émilie ne cherche même pas à résister et sa langue s’enroule autour de celle du voyageur. Sa défaite est totale et elle ne demande plus qu’à se laisser envahir par lui. Alors elle descend elle-même la braguette et sort le sexe. Elle le masturbe doucement quelques instants pendant qu’il lui lèche les seins, puis le guide elle-même à l’entrée de sa chatte tant le désir prend le pas sur sa peur. Abandonnant ses seins, l’homme relève sa chemise de nuit sur ses reins. Et s’enfonce en elle d’un seul coup, la clouant sur la porte des toilettes.
Sa queue est plus courte que celle de son mari, mais plus large. Émilie se sent remplie d’une façon inhabituelle par le membre épais qui frotte les parois de son vagin. Le désir, la peur, le stress… Puis le plaisir qui jaillit aussitôt, à peine pénétrée. Jamais elle n’a jouit si vite, si fort. Mais l’homme continue ses va-et-vient dans son vagin, contrôlant parfaitement la montée de son plaisir. Quel changement avec les brèves étreintes de son mari. Malgré la position inconfortable, le plaisir est continu. À chaque fois qu’il s’enfonce en elle – et il y va à chaque fois un peu plus fort, un peu plus profond, la clouant un peu plus contre la tôle – les contractions au fond de son ventre relancent une ...
... nouvelle vague de plaisir. Jusqu’à ce qu’il explose en elle. Elle agrippe ses reins pour qu’il reste encore un peu en elle.
Son bonheur est si intense que plus rien ne compte. Ni le sperme qui s’échappe enfin doucement de son sexe et glisse sur l’intérieur de ses cuisses sans qu’elle l’essuie. Ni la main de son amant qui explore le reste de son corps et introduit un doigt dans son anus et qu’elle ne chasse pas. Ni le regard de ce passager surgi du wagon voisin et qui s’attarde longuement sur ses seins dénudés, ses cuisses maculées, avant de se décider à poursuivre son chemin. Émilie est enfin réconciliée avec son corps. Quel bonheur de se sentir à nouveau désirée…
Pendant que son amant continue à la caresser, elle lui parle de sa vie, de ses désirs, de ses déceptions et de ses envies… Et la nuit s’enfuit vers le jour. Vers cinq heures du matin, la vie redémarre tout doucement autour d’eux. Les premiers murmures jaillissent, les premières portes s’ouvrent et laissent apparaître les premières têtes encore ensommeillées. Après un dernier baiser passionné, les amants doivent se désenlacer. Émilie ouvre doucement la porte de son compartiment et pousse intérieurement un soupir de soulagement. Son mari et sa fille dorment toujours. Alors, elle se retourne et fait entrer le voyageur pour qu’il regagne sa place.
Mais le sommeil profond de la petite famille lui donne des idées. Loin de s’allonger, il agrippe Émilie, reprend possession de ses lèvres et ses mains de son corps. ...