L'oeil
Datte: 18/04/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
train,
cérébral,
pénétratio,
fsodo,
occasion,
extraconj,
Auteur: Le jeune homme vert, Source: Revebebe
... qu’elle a emportée. Elle la ferme sagement jusqu’au dernier bouton.
L’homme est rentré beaucoup plus tard, pendant qu’elle installe sa fille dans sa couchette et elle sent à nouveau son regard braqué sur ses fesses. Mais cette fois-ci, elle n’est plus aussi habillée et elle imagine sans peine la vue qu’elle doit lui offrir, le fin tissu de sa chemise ne cachant rien de ses formes pleines. Pourtant, et bien contre son gré, ses pointes de seins se dressent et, malgré le temps qu’elle a pris pour se retourner enfin, l’homme capte immédiatement la poitrine lourde que dissimule à peine le fin vêtement. Émilie ne sait plus où se mettre car l’individu ne cache pas son intérêt pour elle. Son mari, évidemment, ne remarque rien. Comme tous les maris.
Vers vingt-deux heures, ils se sont tous couchés et son époux comme sa fille n’ont pas tardé à s’endormir, bercés par le bruit monotone des roues sur les rails de la voie ferrée. Mais Émilie ne trouve pas le sommeil et, quand elle se retourne vers le voyageur en changeant de position, elle surprend toujours ses yeux clairs qui luisent dans la semi-pénombre. Alors elle se retourne à nouveau vers la paroi. Puis se retourne vers lui. Et surprend à nouveau le regard fixé sur elle. Un sentiment trouble s’installe dans son esprit, qu’elle ne parvient pas à chasser : malaise, envie, crainte, désir… Et le sommeil fuit toujours.
L’envie d’uriner la prend vers minuit mais elle n’ose se lever pour la satisfaire. Il faudrait se relever ...
... devant le vieux monsieur. Mais vers deux heures du matin l’envie est trop forte, et elle finit par se lever d’un bond pour s’enfuir presque vers sa libération. Quand elle sort des toilettes, l’homme est devant elle. Elle ne l’a pas entendu arriver, ça la déstabilise. Et alors qu’elle attend pour qu’il s’efface et la laisse passer, il n’en fait rien, la contemple longuement. Ses yeux détaillent ses seins lourds et, à sa grande honte, les pointes qui se redressent et tendent le tissu.
Le sourire narquois qui s’accroche aux coins de ses lèvres révèle que ce détail ne lui a pas échappé. Interdite, Émilie ne sait que faire. Le pas en avant de l’inconnu pour se rapprocher d’elle accroît sa terreur et son excitation. Elle se sent paralysée par le stress. C’est presque un soulagement pour elle quand une main agrippe sa chemise de nuit et en dégrafe le premier bouton. Pas un mot n’est échangé. Et l’homme prend tout son temps, apparemment sûr de lui. Ça semble durer une éternité mais elle n’arrive pas à réagir et à sortir de sa torpeur. Le deuxième bouton saute. Le désir qu’elle lit clairement dans les yeux de son agresseur renforce inquiétude et envie. Mais son inertie passe pour du consentement et il enlève enfin le troisième et dernier bouton qui libère ses seins lourds.
Émilie se rend bien compte que tout cela est irréversible si elle ne réagit pas maintenant. Mais le sexe tendu de l’homme presse déjà son ventre et annihile sa volonté. Pire, la peur d’une présence augmente son ...