La petite femelle (4)
Datte: 15/09/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: De Bréville, Source: Xstory
... belle n’est-ce-pas ? Et elle adore le sexe, tu verras…
Notre hôte n’a pas le temps de s’interroger sur ces deux derniers mots. Je réapparais, dévêtue comme sur les photographies. L’homme cherche mon regard. Il est toujours aussi provocateur. Mes yeux brillent, mon visage s’est sûrement un peu plus empourpré : de gêne un peu, de plaisir aussi…
Je m’installe dans le petit fauteuil qu’occupait mon maître, les jambes ouvertes, les genoux par-dessus les accoudoirs. Je masque mes yeux au moyen d’un bandeau noir et enlève ma combinaison. Puis je commence à me caresser l’intérieur du sexe tandis que mon maître invite à notre invité à reprendre sa place assise.
Le vernis soigné de mes ongles est d’un rouge intense. Dans l’ouverture béante de mes cuisses, l’index et le médius de ma main gauche écartent la lèvre de chair sur un des côtés, pendant que, de l’autre côté, le pouce et l’auriculaire de ma droite remplissent la même fonction. Le quatrième doigt de cette main est replié ; l’index touche l’extrémité du clitoris, en érection évidente ; plus bas, le médius pénètre de toute une phalange dans l’orifice bien dégagé. Sous l’éclairage de la lampe que vient d’orienter mon maître, la surface de mes muqueuses est rendue brillante par mes sécrétions.
— Tu peux toucher si tu veux, dis mon maître. Elle a une peau très douce…
Sa main droite, posée sur l’accoudoir de mon fauteuil, n’a qu’à se déplacer un peu vers l’avant pour effleurer du bout des doigts l’intérieur de mes ...
... cuisses. J’ai un léger frisson.
— Très agréable, dit-il en s’adressant à mon maître.
Celui-ci reprend aussitôt :
— Et elle a une belle bouche… Des jolies lèvres douces… Savantes…
Des photographies sont éparpillées sur la table basse. Je sais que l’une d’elle me montre debout, les jambes écartées, le buste fléchi en avant, les reins très cambrés, les fesses faisant saillie d’une manière agréable. Mes poignets sont liés ensemble par-derrière, à la hauteur de ma taille, au moyen d’une chaînette en métal brillant. Dans mes mains aux paumes ouvertes repose une cravache.
Sur un autre cliché, mes fesses sont marquées en tous sens par des lignes foncées, très nettes et bien distinctes, qui s’entrecroisent des deux côtés de la raie médiane, plus ou moins appuyées suivant que la cravache a frappé plus ou moins fort. Cette image où je suis enchaînée et offerte, est évidemment rendue plus émouvante encore par les traces cruelles des tourments que j’ai subi.
Je ne peux voir ces images à travers mon épais bandeau. L’homme s’est levé sans bruit, et, penché sur moi, m’embrasse, effleurant à peine mes lèvres, puis prenant toute ma bouche qui s’amollit et répond à ses caresses. Il me chuchote enfin quelques mots à l’oreille :
— Tu es une merveilleuse salope, tu vas continuer à te caresser d’une main, et de l’autre tu vas branler ton petit cul. En même temps.
J’obéis. Une de mes mains passe par derrière. J’ai cette région très sensible et je m’excite aussitôt de plus belle. ...