La petite femelle (4)
Datte: 15/09/2020,
Catégories:
Divers,
Auteur: De Bréville, Source: Xstory
“La petite femelle”, c’est un des surnoms que me donne parfois mon mec attitré. Il m’appelle aussi SMLS, ce qui veut dire “Sa majesté la salope”. J’aime bien ce genre de respect. J’ai 28 ans, un cul d’enfer (ça aussi, c’est mon mec qui le dit, mais je sais qu’il a raison). J’aime le sexe, soft ou vraiment très hard. Les sexes, masculins et féminins, m’excitent et me motivent. J’adore aussi dévoiler mes désirs, raconter mes aventures sexuelles. Si mes récits vous plaisent et que vous me le faites savoir de manière un peu détaillée, il y aura de nombreux épisodes. Hommes, femmes, couples, tout dépend de vous. Moi, j’ai très envie de vous faire partager mes bonheurs.
Si vous le voulez bien, encore un récit qui a trait notamment à ma passion pour l’exhibitionnisme. L’expérience est beaucoup plus récente que la précédente…
Ce soir, mon maître a invité à dîner un collègue de travail. Agréable, pourvu d’un joli visage et de belles et fortes mains. J’aime les grandes mains très soignées. La vue de mains calleuses ou pleines de cambouis m’excite terriblement mais je préfère encore les mains blanches et soigneusement entretenues. A la vue d’un gros pouce à la peau claire, fort, puissant, même un peu gras, avec des ongles parfaitement coupés et arrondis, mon cul envoie à mon cerveau un tas de messages qui y mettent un peu la pagaille… Et plus mon regard s’attache aux mains de notre invité, plus je le trouve sexy. J’ai une robe à jupe très ample et à la taille ajustée. Elle ...
... découvre largement mes épaules mais cache mon absence de sous-vêtements.
Mon maître, avec un regard discret et complice dans ma direction, lui confie sa passion pour la photographie et lui propose de voir ses œuvres avant le repas.
Ils sont maintenant installés à portée de main l’un de l’autre, sur des fauteuils petits mais bien rembourrés, près d’une table basse. Je me tiens debout à côté du fauteuil de mon maître.
Il montre les photographies l’une après l’autre, les examinant chacune au préalable, avec soin, tandis que notre hôte est occupé avec la précédente. Leurs dimensions sont celles du papier à lettre commercial. Elles sont d’une netteté extraordinaire.
Sur la première photographie, je suis en combinaison noire, ne portant en dessous qu’un porte-jarretelles retenant des bas à revers brodés. La vue de cette première photo laisse notre invité interloqué. Son regard cherche celui de mon maître mais déjà, celui-ci fait mine de s’intéresser au cliché suivant. Je me dis qu’il doit éprouver un plaisir de marchand d’esclave à permettre ainsi au premier venu, car enfin je ne connais pas cet homme, d’accéder à l’image dénudée de sa « petite femelle ». C’est, de toute évidence, des satisfactions de cet ordre qu’il recherche aujourd’hui.
Le regard de l’homme cherche alors le mien. Nous ne prononçons aucune parole. Il me dévisage, et je le regarde droit dans les yeux, les joues un peu rouges sans doute, mais extrêmement fière et commençant à être très excitée. Une foule de ...