1. EMILE et BEA 3. Soumise


    Datte: 14/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Emile, Source: Hds

    ... sur son sexe et la relâche, la laissant retourner chez elle nue et gluante de foutre.
    
    Le mercredi suivant, Emile l’a précédée avec deux amis. Ils ont amené une bouteille de whisky et des verres. Courtoisement ils l’invitent à s’asseoir et à boire après avoir extrait ses superbes loches de leur gangue de tissu et ceint son cou. Lorsqu’elle finit son verre, le maître la prie de se coucher nue à plat dos sur la table. Immédiatement les six mains prennent possession de sa bouche, de ses seins et de son sexe. Elle écarte au maximum ses bras et ses cuisses comme pour leur signifier qu’elle leur est totalement offerte. Quelques caresses s’égarent sur ses cuisses ou son ventre. Ses grandes lèvres sont largement écartées comme pour en découvrir l’anatomie. Tandis qu’un doigt se glisse dans son cul, son clitoris commence à être vigoureusement branlé, sa chatte remplie de plus en plus en profondeur de deux puis trois doigts mobiles, alors que ses tétons sont étrillés avec application. Bea sent le plaisir monter en elle. Deux appendices dilatent désormais son cul. Elle se tortille sans cesse en une gestuelle spontanée toujours plus inconvenante. Les caresses s’accélèrent et elle se désunit comme pour faciliter encore l’accès à ses organes déjà très exposés. Finalement, possédée par cette pieuvre à six bras, elle hurle de bonheur alors que son corps entier vibre de toutes ses terminaisons nerveuses, qui contractent et relâchent à une vitesse folle toute sa musculature. Il lui semble ...
    ... que l’intérieur de son corps est en feu. La cyprine détrempe ses cuisses, un filet de bave coule au coin de sa bouche. C’est un tel bonheur que le reste lui paraît amusement. Quand ses amants se dénudent, l’un d’entre eux se couche sur la table le vit dressé. Elle s’enfiche sur lui tandis qu’un autre entre bientôt en son cul. Elle suce ce pauvre Emile resté debout à côté d’eux. Elle est heureuse de les sentir tous les trois s’agiter puis se vider en elle et ressent du bonheur à les entendre jouir en se libérant de leur foutre. De tous ses trous, lorsqu’ils se retirent, coule un filet blanchâtre et gluant. Peu lui importe puisque son corps entier est dilaté, exhibé à tous les habitants de la forêt. Elle conçoit une grande fierté d’être enfin capable de se laisser aller à son penchant exhibitionniste dans des conditions plus extrêmes qu’elle ne l’avait jamais imaginé.
    
    Et les mercredis succèdent aux mercredis, les outrages aux outrages, au point que ses différents sphincters, lèvres et cols restent à demi irrités semaine après semaines. Il n’est de jour sans qu’elle ressente les outrages à l’intérieur de son corps. Sa sexualité de couple lui paraît fade et elle essaie d’entrainer son mari sur des chemins qui le choquent. Elle finit par ne plus faire l’effort de le solliciter et attend ces moments intenses à la cabane avec envie. Une fois elle y est même venue nue, le corps orné de ses plus beaux bijoux, maquillée plus qu’à l’habitue, comme si elle voulait confirmer son nouveau ...