1. EMILE et BEA 3. Soumise


    Datte: 14/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Emile, Source: Hds

    ... nuisette, sans aucun sous-vêtement et te plieras à tous nos caprices. En hiver tu seras totalement nue sous ton manteau. Avant de venir tu enduiras ton cul de lubrifiant de façon à ce que nous puissions entrer en toi sans crier gare. Si nous ne sommes pas arrivés, tu finiras de te dénuder, enfileras le collier de chien posé sur la table de nuit et te positionneras à quatre pattes, sur le lit, cuisses écartées et orifices offerts. Par temps chaud tu feras la même chose sur la table de bois extérieure. Parfois nous enverrons des amis s’occuper de toi, tu leur obéiras comme à nous-mêmes. Si tu manques un seul de nos rendez-vous, je viendrai chez toi le dimanche suivant avec les photos que nous avons pris lorsque tu étais inconsciente, enfichée sur nos deux queues. J’expliquerai à ta famille quelle salope tu es en plein repas dominical. Maintenant tu nous appartiens et plus rien ne défera cela. M’as-tu compris, sac à foutre, jolie pute, gracieuse petite salope ? » Prudemment elle hoche positivement de la tête avec conviction et est immédiatement récompensée d’une grande claque sur les fesses.
    
    Le mercredi suivant il fait une chaleur terrible. Personne n’est encore arrivé lorsqu’elle atteint la cabane. Elle ôte sa frêle vêture, s’équipe comme prévu et s’expose lubrique sur la table ombragée à cette heure. Le bûcheron arrive et lui prodigue une caresse distraite. Il se saisit d’une laisse, l’attache au collier et s’engage sur un sentier en de grandes enjambées. Bea trottine ...
    ... derrière lui aussi vite qu’elle peut pour éviter d’être étranglée. Au bout de quelques minutes ils arrivent dans un bruyant chantier de coupe où s’activent une dizaine d’ouvriers. A sa vue ils arrêtent immédiatement de travailler et un silence pesant s’installe. Les dix regards concupiscents convergent sur sa nudité exposée et elle fait un pas en arrière. La laisse se tend et elle comprend le message. Elle se pose à quatre pattes au sol et attend, toujours liée au bucheron. Quelques instants plus tard la sarabande commence. Son asservissement est total. Les hommes se succèdent sans se dévêtir dans sa bouche sa chatte et son cul. A de petits sexes succèdent de gigantesques bites qui violent sa gorge, remontent dans ses viscères, envahissent son vagin. Ils opèrent souvent à deux, parfois même à trois. Elle se soumet à tout « pour éviter que le collier ne l’étrangle »... Plus d’un lui claque les fesses avec vigueur. A deux exceptions près, ils éjaculent tous sur son visage ou son dos, la salissent et la traitent de « serpillère ». Elle est presque reconnaissante de recevoir quelques grandes giclées aux tréfonds de ses viscères. Ça la change ! Lorsqu’ils ont satisfait leur désir, ils la trainent par la laisse et l’obligent en riant à courir à quatre pattes dans tout le chantier, sale et humiliée, lui provoquant plein de petites écorchures aux mains et aux genoux. A la fin ils se calment et reprennent leur bruyante besogne. Content d’elle, son « maître » le manifeste d’une tape amicale ...