1. Le dindon de la farce


    Datte: 12/09/2020, Catégories: grp, fplusag, hagé, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, vacances, voyage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, échange, Partouze / Groupe Humour hfff, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... servait aussi de bureau, avec une porte-fenêtre donnant sur le jardin. Edith avait des cheveux très courts, blancs, pas gris, mais blanc de chez Blanc, curieux choix. Son visage était parsemé de tâches de rousseur ainsi que son nez, anormalement long. La politesse élémentaire m’obligeait à témoigner ma reconnaissance à un des auteurs de ma superbe érection.
    
    Un peu étonnée, Edith me laissa m’allonger sur le parquet mais elle devina vite mes intentions quand je me glissai sous elle, mon visage à la verticale de son entrejambe. L’obscurité devint totale quand elle s’accroupit, les cuisses béantes. Un discret parfum de jasmin chatouilla mes narines. Je m’appliquai à lui offrir des préliminaires dénués de toute vulgarité, évitant tout geste gynécologique, tout en délicatesse.
    
    — Je dois être une des rares femmes à avouer que j’aime bien me faire enculer, tu es choqué ? J’espère que tu ne crains pas d’être excommunié par les ayatollahs de tout poil qui nous pondent des interdictions toutes les semaines ?
    
    Amis de la poésie et de la carte du Tendre, bonjour… J’étais un peu sonné mais j’ai pris sur moi ; Peut-être qu’elle n’était qu’un peu grossière dans son vocabulaire mais pas forcément vulgaire. Edith m’assomma définitivement quand elle rajouta :
    
    — Je parie que tu n’as jamais vu une rousse faire pipi ; C’était une des nombreuses perversités de mon mari, le pauvre… Je suis désolée mais à soixante-quatre ans, on ne maîtrise pas toujours sa vessie ! De toute façon tu n’es ...
    ... pas obligé de regarder.
    
    La pharmacienne prit sur le bureau des mouchoirs en papier, elle ouvrit la porte fenêtre, se campa, debout dans l’allée en gravillons du jardin. Fléchissant légèrement les jambes, madame, sans aucun état d’âme, fit son gros pipi.
    
    — Passons maintenant aux choses sérieuses jeune homme !
    
    Je fis bien une tentative, espérant me faire limoger, en lui expliquant que j’étais hyper nul en sodomisation, vu que je n’avais jamais pratiqué. Peine perdue, elle allait m’initier. Edith, très pédagogue, m’expliqua les phases qu’elle avait mises au point pour que le plaisir supplante la douleur de la pénétration.
    
    D’abord, lubrification abondante dont elle me chargea, pendant qu’elle tenait le pot de gel intime, couleur turquoise. Ensuite, pré-dilatation. Elle ne travaillait pas en amateur la pharmacienne. Edith m’invita à m’asseoir sur la chaise du bureau, elle m’enfila un préservatif puis elle me demanda de saisir mon phallus pour le dresser vers le plafond.
    
    Elle me chevaucha alors et guida le membre. Les premiers centimètres parcourus, Edith m’avertit qu’on arrivait au rétrécissement délicat et que c’était elle qui prendrait les initiatives. Elle grimaça en s’enfilant plus profondément puis elle arrêta la progression quelques secondes avant de jouer lentement à l’ascenseur sur mon pénis.
    
    — Ouf ! Le plus dur est fait, je n’ai plus vingt ans, jeune homme. Maintenant on peut y aller…
    
    Dépassé par les événements, j’observai Edith s’installer pour la ...