1. Le dindon de la farce


    Datte: 12/09/2020, Catégories: grp, fplusag, hagé, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, vacances, voyage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, échange, Partouze / Groupe Humour hfff, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... copines de mon club de peinture sur soie, z’espère qu’on va s’éclater et faire la fête… Le demeuré qui me sert de mari a refusé de m’accompagner et, ze vous serais reconnaissante de ne plus me parler de lui !
    
    Sur ce, Brigitte quitta la chambre pour aller acheter un magazine télé pour la convalescente, à la Presse cafétéria du rez-de-chaussée. Germaine en profita pour me dévoiler les dessous de l’histoire. En fait, Brigitte toute fière de sa cagnotte, avait bien proposé à son époux un voyage en amoureux mais celui-ci avait bien d’autres projets d’utilisation du magot.
    
    Ce brave homme, passionné de télévision et de football avait déjà compulsé des catalogues pour faire l’acquisition d’un grand écran plasma avec Home cinéma, tant qu’à faire.
    
    Pour une fois, Brigitte avait tenu bon et de fil en aiguille, la discussion entre elle et son époux avait dégénéré… Chacun avait vidé son sac de frustrations accumulées en trente ans de mariage… Bref, une scène de ménage désastreuse, aux conséquences irréversibles.
    
    Brigitte n’adressait plus la parole au père de ses enfants. Ce brave homme avait en effet trouvé pertinent de faire savoir à son épouse qu’elle avait eu bien de la chance qu’il la tire de sa famille d’alcooliques et de demeurés.
    
    Germaine, irritée de la curiosité malsaine de sa voisine de chambrée, conclut ses révélations à demi mots, laissant sous-entendre que cet ignoble malotru, malheureusement mari de Brigitte, avait tenu des propos vraiment ...
    ... odieux…
    
    Brigitte revint avec le magazine à ce moment-là et je n’en sus pas plus. On se remit à papoter joyeusement sur les bienfaits des voyages. Finalement, Germaine nous mit à la porte de sa chambre juste avant que le repas du soir ne soit servi, à dix-huit heures ! Elle voulait que je reconduise Brigitte, en passant par chez moi, pour qu’elle découvre mes albums de photos des îles grecques.
    
    Sa filleule pourrait alors se faire une idée en toute connaissance des choses. Cela tombait d’autant mieux que Brigitte était venue en tramway, à cause du brouillard givrant et que l’obscurité qui tombait ne l’incitait pas trop à voyager seule en transport collectif.
    
    Je laissai ces dames se faire les dernières effusions en repartant très lentement dans le couloir.
    
    Brigitte avait envie d’un café, elle me proposa de m’en offrir un à la cafétéria du bas.
    
    — Z’espère que vous n’avez pas honte de vous trouver en compagnie d’une dame âgée ?
    — Pourquoi j’aurais honte, je vous trouve splendide. Je ne sais pas l’âge que vous avez mais, vous ne le faites pas !
    
    Elle sourit et en touillant son déca, elle m’expliqua qu’elle avait six ans de plus que son époux. Celui-ci, lors de l’affreuse scène de ménage, le lui avait odieusement rappelé. Le regard humide, Brigitte évoqua les griefs humiliants de son goujat de mari : des rides enlaidissaient son cou, ses seins de nourrice étaient vulgaires et inesthétiques, son ventre accusait cinq kilos de surcharge pondérale et son gros cul évoquait plus ...
«1234...11»