1. Le dindon de la farce


    Datte: 12/09/2020, Catégories: grp, fplusag, hagé, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, vacances, voyage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, échange, Partouze / Groupe Humour hfff, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    — Vous tombez à pic, comme le hasard fait bien les choses, je parlais justement de vous avec ma filleule, Brigitte, en lui suggérant de vous contacter pour l’aider à préparer son voyage en Grèce ; Vous y êtes allés si souvent avec votre épouse, avant votre séparation, que vos conseils lui seraient d’une grande aide.
    
    Je venais d’entrer dans la chambre d’hôpital dans laquelle mon adorable voisine, de quatre vingt-deux ans, se remettait d’une mauvaise chute sur un sol verglacé. Dehors, un vent glacial vous sciait en deux. Sa filleule se leva de sa chaise pour me faire la bise. Je me retins de demander à Brigitte si elle avait porté plainte contre la coiffeuse du village car, de toute évidence, celle-ci avait complètement raté la coloration de ses cheveux courts et frisés.
    
    Bien sûr, je connaissais un peu Brigitte qui rendait régulièrement visite à sa vieille marraine, mais le niveau d’intimité de nos relations n’était pas suffisant pour que je me permette une allusion désobligeante à l’encontre de cette teinture horrible.
    
    Elle tirait sur le jaune d’œuf, avec quelques racines oubliées, brunes de surcroît. Pour une presque sexagénaire, Brigitte avait encore des atouts intéressants : de grande taille, la poitrine arrogante moulée dans un pull rouge sang, un fessier aux rondeurs fermes qui tendait une jupe pied de poule, noire et blanche, assortie à des collants, ou des bas, en laine noire.
    
    Après avoir pris longuement des nouvelles de l’état de santé de ma voisine, ...
    ... cette dernière relança la conversation sur les futures vacances en Grèce. Ma perfide voisine, j’en étais persuadé, m’avait suggéré de lui rendre visite vers seize heures car elle savait la présence certaine de sa filleule à cette heure.
    
    Germaine n’avait pas eu d’enfant, elle reportait son amour maternel frustré sur Brigitte dont le mari, par contre, était détesté par la vieille dame qui le qualifiait d’imbécile prétentieux. Assise sur le lit d’hôpital, Germaine, relayant Brigitte bizarrement un peu gênée, m’expliqua que la grosse boîte de sa filleule avait dégraissé du personnel, accordant une prime substantielle de départ pour les retraites volontaires et anticipées. Brigitte en avait bénéficié.
    
    Comme elle avait encore la chance d’être en bonne santé et qu’elle n’avait pris que deux ou trois fois des vacances dans sa vie, elle en avait profité pour réaliser un vieux rêve : prendre l’avion pour la première fois et mettre les pieds sous la table pendant une semaine, dans un hôtel avec vue sur la mer et plage privée, comme les riches.
    
    Germaine ajouta, en s’adressant à nous deux, et avec quelque malice dans la voix :
    
    — Il n’est jamais trop tard pour prendre du bon temps ! La vie passe si vite, croyez-moi !
    
    Bêtement, je demandai à la préretraitée dans quelle île elle comptait se rendre avec son mari. Manifestement, il y avait un problème car elle observera un silence avant de me répondre, sans chercher à dissimuler son cheveu sur la langue :
    
    — Ze pars avec trois ...
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