Le dindon de la farce
Datte: 12/09/2020,
Catégories:
grp,
fplusag,
hagé,
extracon,
grosseins,
groscul,
poilu(e)s,
vacances,
voyage,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
échange,
Partouze / Groupe
Humour
hfff,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... touche de mystère, comme dans les fêtes galantes. Des piaillements féminins nous parvenaient à travers la porte d’une pièce fermée, juste en face de celle où Brigitte nous fit entrer et qui, elle, était une espèce de vestiaire.
Brigitte ne quittait pas des yeux Kamal tout en nous faisant son petit speech d’adieu.
— Ces dames sont un peu énervées, notre amie pharmacienne nous a fourni des pilules magiques… Vos masques sont sur l’étagère de la penderie… Pas la peine d’être trop vêtu, il fait très chaud dans le salon d’en face… On vous attend avec impatience, à tout de suite.
Brigitte m’entraîna seul dans le couloir pour me demander que je m’occupe personnellement de notre hôtesse car, elle craignait qu’elle soit délaissée par mes copains. Elle était un peu plus âgée que les autres et disons, un peu plus dodue aussi.
— Arrête de faire la tête, ze suis certaine que vous allez vous entendre à merveille. Simone a du mérite tu sais, elle a pris en charge son mari gravement malade jusqu’à son dernier souffle. Elle semble maintenant libérée et prête à mordre la vie par les deux bouts. Faut être sympa et ne pas penser qu’à soi, ne gâche pas sa fête s’il te plaît !
Kamal avait proposé qu’on se présente en caleçon mais ce ne fut pas possible : ma grande saucisse de neveu portait un grotesque slip kangourou, très en vogue dans les années soixante. La honte du groupe. À la guerre comme à la guerre, on entra dans le salon avec nos masques noirs mais complètement à poil. ...
... Je ne me rendis compte que trop tard que le neveu avait gardé ses chaussettes vert fluo ; sur du parquet ciré, la classe quoi !
Les volets étaient clos, la lumière tamisée et le slow langoureux d’Elvis fut juste perturbé par les applaudissements chaleureux de ces dames. Elles n’étaient pas non plus très vêtues les coquines, à part les masques en satin, aux couleurs variées : de la lingerie frivole, avec de la dentelle, des transparences osées dans la petite culotte de Brigitte, un string ficelle minuscule pour une grande femme maigre ; des bas roses, des blancs, une paire de bas à couture.
Une invitée fluette, de petit gabarit, semblait porter la tenue la plus décente, style lingerie, début de siècle. Un caleçon court, à l’ancienne, en coton blanc, avec des rubans roses mis en valeur par des bottines lacées, noires.
Quand elle se déplaça pour déposer son verre, la friponne s’arrangea pour dévoiler à tous ces messieurs que le caleçon immaculé était fendu sur le devant et complètement ouvert par derrière.
La partenaire qui m’était dévolu avait opté pour des dessous en satin. Les tétons rigides semblaient vouloir transpercer le fin tissu vert amande du soutien-gorge. La culotte, assortie, très échancrée laissait découvrir de grosses fesses fermes et musclées.
Brigitte et ses copines nous entraînèrent dans les slows baveux du CD, histoire d’échanger nos prénoms et, qu’en même temps, nos corps fassent connaissance. Ces dames, survoltées, changeaient de cavaliers ...