1. Le dindon de la farce


    Datte: 12/09/2020, Catégories: grp, fplusag, hagé, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, vacances, voyage, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fsodo, échange, Partouze / Groupe Humour hfff, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... l’arrière-train d’une vache, que celui d’une épouse qui avait un peu d’amour propre…
    
    Brigitte avoua que le point de non-retour avait été franchi dans son couple mais que le plus grave, c’est que les propos de son mari l’avaient complexée à jamais, au point qu’elle hésitait à se montrer en public. Je la rassurai, essayant de dédramatiser tout en délirant sur les mérites des rondeurs naturelles féminines sur notre libido.
    
    Elle rigola, consciente que je plaisantais en forçant le trait, mais elle sembla quand même apprécier.
    
    — Même avec cette horrible couleur de cheveux que cette cinglée de coiffeuse m’a infligée ?
    — Même…
    
    Dans la voiture, je lui vantai les mérites d’un périple que j’avais apprécié, avec mon ex : Deux jours à Athènes puis Mykonos, Santorin… Brigitte avoua que ses copines et elle préféraient le farniente sur les plages, la bronzette, le shopping dans les magasins de vêtements dégorgeant de contrefaçons, ainsi que quelques virées nocturnes en boîte de nuit. Les coquines et elle espéraient que des autochtones bronzés, pas trop vieux, viendraient leur faire un brin de causette et plus si affinités… Du coup, sur la table de ma salle à manger, je lui laissai éplucher la double page d’un catalogue Thomas Cook consacré à un gigantesque complexe hôtelier récent, que je connaissais, situé avant Réthymnon, en Crête.
    
    Le temps d’actualiser les prix sur Internet et qu’elle téléphone à ses copines, la virée des quatre amies se concrétisait. Par politesse, comme ...
    ... il était passé dix-neuf heures, je lui proposai l’apéro avant de la reconduire, espérant qu’elle refuse, pour me permettre de suivre la fin d’une de mes enchères, sur EBay.
    
    Brigitte accepta. Un peu irrité, je la fis pénétrer dans le salon, le temps de fermer les volets.
    
    — C’était mon rêve d’avoir une cheminée, les flammes qui dansent, l’odeur du bois, z’aurais passé des heures, assise devant, sans rien faire, pour le plaisir… Mon mari a refusé par peur d’un incendie et moi, bébête, ze n’ai jamais osé le relancer !
    
    Brigitte se tenait debout face à l’âtre éteint, elle me lançait le regard du chien triste, abandonné par ses maîtres. Je n’étais pas dupe de ses intentions mais bien que le petit bois, le journal chiffonné et les bûches soient prêts à être embrasés, il n’était pas question que j’allume le foyer pour satisfaire les fantasmes de Madame.
    
    Les morceaux de charpente de chêne que j’avais scié à la main et qui attendaient de répandre leur odeur suave dans le salon étaient réservés à mes petits-enfants, qui devaient me rendre visite le lendemain. Je fis donc semblant de ne pas comprendre ses allusions et j’allai doser mon apéro maison à base de Campari, de Crémant et de quelques rondelles de mandarines confites. Un verre dans chaque main, je regagnai le salon, annonçant fièrement que j’avais déposé des droits d’auteur pour ce breuvage magique.
    
    — Z’ai horriblement froid !
    
    Forcément que mon invitée avait froid, elle s’était débarrassée de son pull rouge et de ...
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