Opportunité
Datte: 10/09/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
grosseins,
poilu(e)s,
campagne,
voyage,
volupté,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fdanus,
init,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... avalait mon pénis en le gardant au fond de sa gorge ,à la limite de l’explosion. Naïvement, je lui proposais de conclure en levrette comme elle me l’avait demandé hier soir. Alors, en baissant les yeux, son doux filet de voix exprima, presque honteusement, une demande pour le moins incongrue :
— Mes copines et moi, on s’est souvent demandé en regardant les cassettes porno, ce que ça faisait de se faire…enfin…de se faire sodomiser…voilà…c’est dit !
Je venais de finir la lubrification du trou du cul de Roseline avec la confiture de framboise de madame Reitter (à la guerre comme à la guerre !). À quatre pattes sur la moquette, emprisonnant de ses bras les deux oreillers qui supportaient un profil de son visage, elle me demanda bizarrement, si j’avais été choqué par sa proposition inattendue. Elle ne me laissa pas le temps de répondre, car elle enchaîna de suite sur le plaisir sadique qu’elle aurait d’observer le visage de ses amies quand elle raconterait, par le détail, sa sodomisation à la confiture. On vit une époque formidable ou la réalité dépasse, à plates coutures, toutes les fictions. L’hospitalité annale de ma maîtresse s’avéra exemplaire. Malgré une position de pénétration à la cosaque, bien fléchi sur mes jambes, je mis le plus de délicatesse possible pour enfiler le trou du cul de ma partenaire. Elle découvrait de nouveaux horizons dans un mélange de râles de plaisir et de douleurs. Après avoir libéré quelques milliers de spermatozoïdes, je sortis lentement ...
... de madame en essuyant discrètement ma queue entre ses fesses maculées de confiture. Avant d’aller quérir les mouchoirs en papier que Roseline, la tête enfouie sous un oreiller, réclamait, je ne pus résister à l’envie de prendre en photo le spectacle involontairement offert. La croupe généreusement ouverte, aux fesses rougies de framboise, découvrait totalement sa touffe humide de poils bouclés qui remontaient jusqu’à une ouverture rosâtre d’où s’échappaient de fines coulées de sperme blanc. Bien sûr, je n’informais pas l’épouse indigne de mon ignominieuse initiative… Elle aurait la surprise de deux photos inattendues en proposant mes exhibitions naturistes à son cercle de chasseurs disparus. Le mari pétomane dormait encore quand je pris le volant vers le grand Nord-Pas-de-Calais. Certes je l’avais fait cocu mais je n’en éprouvais aucune fierté déplacée ; moi aussi, je l’avais certainement été mais, je n’en avais plus rien à secouer. Les cocus enterrent les cocus, c’est la vie. Janine me raccompagna jusqu’à la voiture avec une démarche qui dévoilait les séquelles récentes d’ébats inhabituels. Une parenthèse dans nos deux vies banales venait de se fermer, ni fleurs, ni couronnes…. Pas de littérature à l’eau de rose : d’un commun accord, notre brève aventure devrait rester sans lendemain…J’avais quand même réussi à subtiliser, pour convenance personnelle, sa petite culotte jaune canari, imbibée d’odeurs et de parfum intimes, qu’elle portait la veille. Elle venait de me faire le ...