Opportunité
Datte: 10/09/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
grosseins,
poilu(e)s,
campagne,
voyage,
volupté,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fdanus,
init,
Auteur: XXL, Source: Revebebe
... n’était pas une raison pour jauger la bête…à son âge, en plus ! Bien que plus rien ne puisse m’étonner, amusé, je fus quand même à deux doigts de lui faire examiner ma dentition, comme au marché à bestiaux. Dodelinant exagérément sa croupe dodue, trop à l’étroit dans le pantalon corsaire, elle se dirigea vers le coupé Mercedes pour en extraire deux housses à vêtements. Chacune de ses mains en portait une à hauteur d’épaules. J’allais me replonger dans ma lecture, mais le spectacle maintenant offert m’en dissuada. Elle avait abandonné son blouson de cuir et avançait souriante dans ma direction, les bras en croix servant de porte-manteaux improvisés. Le T-shirt Versace arrivait difficilement à contenir le balancement synchrone de deux énormes nichons. Heureuse et divine surprise en cette fin de journée ensoleillée. Les femmes mûres ont souvent de belles poitrines épanouies, mais présentement, c’était un autre gabarit. Comme si le soutien-gorge était desserré ou inadapté, les gros seins lourds de la dame s’agitaient, pratiquement libres, au rythme de ses pas longs et rapides. Que c’était beau. Elle n’avait pas du tout honte de ses encombrants avantages naturels. Un discret sourire s’épanouit même sur ses lèvres, signe de sa satisfaction, vu mon attention non dissimulée. Elle devait avoir une quinzaine d’années de plus que moi mais, ma libido individuelle et portative avait toujours fantasmé sur les plantureuses poitrines naturelles. Papa Freud, priez pour moi. Fermant les ...
... yeux pour voir s’il y avait quelqu’un à l’intérieur, j’analysais objectivement la situation : Dieu merci, je n’étais pas encore au stade de la vieillesse ou « l’anticipation de la perte du bonheur empêche de le vivre » mais, je craignais quand même de ne pas avoir la motivation suffisante pour courtiser la sexagénaire ; fut-elle même propriétaire d’une superbe paire de nichons ! Autour de boissons rafraîchissantes, le couple nordiste et moi firent connaissance : ils habitaient un petit village à 30 kilomètres de chez moi (Le Monde est petit…etc. etc.), ils avaient été gérants d’une supérette, c’étaient quasiment leurs premières vacances après des problèmes de santé de Monsieur. Les deux compatriotes m’interrogèrent curieusement sur ma boîte et mes fonctions. Il ne fallut pas longtemps pour que, Mme et Mr. avouent qu’un neveu, très cher à leur coeur de couple sans enfant, cherchait un stage gratifiant, dans une boîte informatique du Nord-Pas-de-Calais. Je leur répondis que cela ne devait pas trop poser de problème s’il était motivé. Ils s’en montrèrent vraiment ravis .Ce qui me surprit le plus, c’est l’absence totale de communication dans le couple : ils me parlaient chacun leur tour, comme si le conjoint n’existait pas. L’usure du couple, après des dizaines d’années de vie commune, ne m’avait pas épargné non plus ; nous avions même décidé, mon épouse et moi, une espèce de congé matrimonial sabbatique, pour éviter cette cohabitation malsaine. La complicité et la tendresse ...