1. Opportunité


    Datte: 10/09/2020, Catégories: fh, fplusag, extracon, grosseins, poilu(e)s, campagne, voyage, volupté, entreseins, Oral pénétratio, fdanus, init, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... temps ce soir… À cause de ses médicaments, le pauvre n’arrive plus à dépasser le cap de 9 heures du soir.
    
    Cela ne m’empêcha pas d’empoigner ses gros seins, à pleines mains, pour en estimer la moelleuse consistance. Bien qu’elle guettait anxieusement le retour du conjoint, Jeanine, les joues rouges, se montra très satisfaite de ces préliminaires furtifs. Il fallut quand même insister plus longuement, avant qu’elle accepte, les yeux baissés, de sucer mon index, qui vagabonda longtemps sur ses lèvres obstinément fermées.
    
    Va comprendre Charles !
    
    Après quelques dégustations chez mon vigneron, quelques tartes flambées arrosées d’un Edelswicker fruité, notre trio était euphorique et content de vivre. Le mari un peu pété insista pour que je prenne le volant de son coupé allemand. Il se vautra sur le siège passager et, la bouche ouverte, s’endormit dans la minute souriant aux corneilles. Roseline commença à me bécoter dans le cou, depuis la banquette arrière, dès la sortie de la ville. La présence de son mari endormi semblait augmenter son excitation ; elle entreprit même le déboutonnage de ma chemise pour ensuite caresser ma poitrine velue en me mordillant l’oreille. Les prémices d’une soirée de stupre torride se prolongèrent jusqu’à notre arrivée nocturne au gîte. Madame, alors que j’avais rabattu mon siège pour lui permettre de descendre, mit un doigt sur sa bouche et, avec un sourire coquin, me fit comprendre ses intentions en s’étalant sur la banquette arrière ! ...
    ... Quelle idée saugrenue ! Le brave cocu ronflait à présent ; il ne saurait jamais que son épouse éméchée pouvait se transformer en une grosse vicieuse. Elle venait en effet de trousser sa longue jupe plissée, jusqu’au nombril .Elle avait introduit ensuite sa main droite sous sa culotte brodée, jaune canari, et commençait à se caresser, souriant à mon incrédulité. À genoux sur le montant de la portière, j’eus vite fait de descendre la petite culotte et d’ouvrir largement l’entrejambes de la pécheresse ravie. La longue fente moite accueillit ma langue chaleureusement, tandis que mes doigts se perdaient dans une touffe luxuriante de poils gris. En positionnant la jambe gauche de ma partenaire sur mon épaule, à la lumière du plafonnier, je poussais plus loin mes investigations lubriques. Jeanine poussa juste un « Oh ! » étouffé quand elle sentit mon gros index lui fouiller son trou du cul ; elle me laissa quand même continuer. Peut-être parce qu’elle avait peur que j’arrête de lécher son clito incandescent et sa fente, trempée maintenant. Je venais de commencer à me dévêtir, bien déterminé à lui imposer une petite fellation, afin d’honorer dignement la mamie. Après quelques contorsions savantes, cette dernière s’était débarrassée de sa jupe. Un sourire pervers aux lèvres, les cuisses béantes, elle attendait mon offrande, à demi affalée sur la banquette en cuir. Dansant sur un pied posé à même le gazon, nu, j’avais du mal à ôter mes chaussettes (un homme à poil en chaussettes, j’avais ...
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