1. Une famille sexuellement débridée (11)


    Datte: 08/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... Il a un bon trou le petit, mais c’est moins doux et humide qu’un bon vagin... et il a pas de boops... de bons gros lolos comme ta mère et toi... quelle famille de putes !
    
    Il se mit alors en bouledogue tandis que papa se plaçait pour se faire sucer la bite.
    
    — Tonio, enfile maman et moi je vais t’enculer.
    
    S’il y a une chose que j’apprécie, c’est d’avoir la bite dans un trou et une queue dans le mien simultanément.
    
    On kiffait trop ce manège.
    
    — Elle prend deux queues en même temps aussi la petite salope ?
    
    — Bien sûr.
    
    — Qui vient avec moi ?
    
    — J’en suis, dit immédiatement Gillou.
    
    — Les deux triques dans la chatte pour commencer.
    
    — C’est parti !
    
    Ils se mirent, l’un allongé sur le dos, avec ma sœur dessus de face, et l’autre à genoux.
    
    Elle couinait.
    
    — Elle en prendrait bien trois ? proposa Bernard.
    
    — On peut essayer, s’enthousiasma le plus déglingué d’entre nous, mon frère.
    
    — Un dans la chatte, un autre en bouledogue au-dessus et la bite la plus longue qui essaie de se choper un trou ?
    
    Ce fut très compliqué. Ils s’y mirent quelques minutes, mais la position avait du mal à tenir.
    
    — On revient à du plus classique ? J’ai pas encore mis ma bite entre ces deux grosses loches moi !
    
    Pendant que Patricia s’empalait sur le nœud paternel en se mettant à califourchon sur son géniteur, elle présentait ses nibards au tonton-cousin, qui, fléchissant les jambes, y trouvait une posture adaptée à ses envies.
    
    Bien sûr, pendant ce temps-là, ...
    ... Gilles et moi prenions notre mère en sandwich. Je préférais, quant à moi, la sodomiser. En effet, je ne parvenais pas à me défaire du léger malaise que constituait le coït avec elle. Autant me faire péter le cul par mon frère ou téter le dard par ma sœur ne me procurait rien d’autre que de la joie, autant il fallait que je fusse bien stimulé pour grimper ma maman. Je me demandais si j’allais un jour pouvoir dépasser cette prévention.
    
    Le résultat en était que je me trouvai moins endurant dans cette situation et je le démontrai encore en éjaculant le premier. Je pris soin toutefois, sentant l’orgasme venir, de m’extraire de son cul et de me rapprocher fissa de ma sœur. J’éjaculai sur ses seins d’entre lesquels émergeait le splendide gland de tonton Bernard. Celui-ci comprit parfaitement où je voulais en venir et il me laissa faire. Quand il eut bien astiqué sa verge entre les deux mamelles couvertes de mon foutre, il me la présenta à sucer.
    
    Maintenant qu’ils étaient à trois contre deux, il réclama le privilège de s’occuper tout seul de ma frangine pendant que papa et Gilles se termineraient sur maman.
    
    Comme s’il était chez lui, et c’est d’ailleurs un peu le cas, il déplia le canapé-lit pour se mettre confortable avec la frangine dans la traditionnelle position du missionnaire.
    
    Inutile de dire que je profitais du spectacle de ce colosse s’agitant dans ma sœur, tantôt entièrement vautré sur elle, tantôt appuyé sur ses bras et la couvrant de baisers sur la bouche, dans le ...