1. Une famille sexuellement débridée (11)


    Datte: 08/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... les mains pour attraper les cuisses et, quand il les eut trouvées, il avança, le nez droit dans la chatte. Il se frotta dessus, huma, puis sortit sa langue pour en donner un grand coup. Puis il se mit à la manger franchement. Ma sœur commença à gémir et onduler du bassin.
    
    Alors, il se leva pour commencer à caresser le ventre et les seins.
    
    — Eh ! Mais c’est pas Valoche !
    
    — Bien vu ! Je t’avais bien dit que c’était une surprise.
    
    — Mais je suis là quand même mon chou ! précisa maman en arrivant par-derrière pour lui tâter les couilles.
    
    — Hmmm... et qui est cette charmante dame qui nous tient compagnie aujourd’hui ?
    
    — Devine !
    
    — Je la connais ?
    
    — Oui...
    
    — On a déjà forniqué ensemble ma belle ?
    
    — Elle te fait signe que non.
    
    — Et pourtant on se connaît...
    
    — Tu connais bien des nanas que tu n’as pas sautées ?
    
    — Ouais... il doit bien en rester quelques-unes...
    
    Là-dessus, ma sœur se souleva pour venir à sa rencontre et ils se roulèrent une magnifique gamelle.
    
    — Cheveux longs, beaucoup de fougue... Mariée ?
    
    — Non...
    
    — Un bon point.
    
    — Tu causes trop... fous-la !
    
    Il prit sa bite en main et la guida dans le trou. Il poussa d’un coup, arrachant un cri de surprise et de bonheur à ma sœur. Puis il se mit à la déglinguer.
    
    — Putain, elle est bonne... bien serrée.
    
    — C’est pas elle qu’est serrée, c’est ta queue qu’est grosse.
    
    — M’en fous. Bonne chatte... putain de bonne chatte.
    
    — Alors tu sais qui c’est ?
    
    — Jeune meuf plutôt ...
    ... hein... Belle pouliche avec des gros boops... j’ai une idée... mais... non... trop gros...
    
    — Raconte.
    
    — Je la nique d’abord... si je me goure, vous allez vous foutre de moi tous les trois.
    
    — Tu me la laisses... Valoche est penchée à ta droite, la croupe offerte.
    
    Il se décala donc et, à tâtons, trouva ma mère et l’enfila.
    
    — Alors ma bonne Valoche... t’es partageuse aujourd’hui.
    
    — Ça t’embête ?
    
    — Tu plaisantes. Deux belles garces pour le prix d’une.
    
    Et tout en sautant vigoureusement ma mère, il tendit la main vers la gauche. Il y rencontra le cul de mon père, lequel tronchait allègrement ma frangine pendant que mon frère se branlait. Moi je bandais en regardant le magnifique étalon roux déboîter ma maman.
    
    — Qu’est-ce tu fais ? Tu me pelotes le cul ?
    
    — Je vérifie une hypothèse, dit-il en passant sa main entre mon père et ma sœur.
    
    — Laquelle ?
    
    — Non rien... je vérifie que tu la baises bien.
    
    — Pourquoi je la baiserais pas ? Tu vois bien que je suis dedans là ! Non ?
    
    — Ouais, mais, du coup, je ne sais plus qui est la nana que tu sautes.
    
    — Ah ? Pourquoi ?
    
    — Tu rigoles, mais un moment j’ai cru que c’était Patoche.
    
    Il y eut éclats de rire de mes parents et nous retînmes les nôtres.
    
    — Patou ? T’en as des idées ! Tu t’imagines que je saute ma fille ?
    
    — Tu serais pas le premier... de vous deux, rien ne me surprendrait ! Vous êtes encore plus branchés baise que moi !
    
    — Parce que tu es le dernier à me foutre peut-être ?interrogea ...
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