1. Une famille sexuellement débridée (11)


    Datte: 08/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Mais en attendant de faire découvrir aux autres membres de la famille les aptitudes de notre ami le plus fidèle, il nous restait à piéger tonton Bernard qui était annoncé pour le lendemain soir. Il fut convenu qu’il vînt dîner comme il le faisait des fois, avec mes parents. Planqués à côté, ma sœur mon frère et moi, attendrions sagement d’entrer en scène.
    
    Pour mieux profiter de la situation, nous installâmes une webcam dans le salon et vérifiâmes que les gonds des portes étaient bien huilés. Afin qu’il ne nous entendît pas arriver et se doutât de rien.
    
    La tête qu’il ferait quand il découvrirait qu’il baisait ma frangine !
    
    C’est à l’heure du dessert que tout devait se passer.
    
    — On a une p’tite surprise pour toi mon Béber, lui dit papa.
    
    — Hmmm... après un bon repas... Un petit plan à trois... ? Classique... C’est ça la surprise ?
    
    — Non, trop banal. On t’a préparé autre chose. Mais d’abord, on débarrasse pendant que tu te fous à poil.
    
    — Ah ? Vous m’intriguez...
    
    La table fut prête en un instant.
    
    — Mets cette cagoule !
    
    C’était le moment d’entrer tous les trois, le plus discrètement possible, papa et maman couvrant les sons potentiels par leur babillage avec notre "victime".
    
    Nous étions entièrement nus, faut-il le préciser ?
    
    Patou s’allongea sur la table, ramena ses cuisses vers elle, arrondissant son postérieur, en tenant ses jambes le plus écartées possible pour bien offrir sa chatte. Je dois dire qu’elle était particulièrement bandante avec ...
    ... sa taille fille, et ses seins dont le galbe est presque parfait.
    
    On triquait déjà, mais je crois que j’étais encore plus excité par Bernard.
    
    Moins âgé que mes parents d’une dizaine d’années, c’était la première fois que je le voyais nu. Certes, en été, avais-je déjà aperçu son torse et ses cuisses, ainsi que le modelé parfait de son cul sous le short, mais je n’avais encore jamais vu son sexe.
    
    Travaillant dans le bâtiment et adepte de séances de musculation, le gaillard toise un bon mètre quatre-vingt-dix. Ses pectoraux sont puissants, légèrement poilus et couverts de taches de rousseur. L’aréole est large et le téton était bien rose et tendu, sans doute, à cause de l’excitation qui le gagnait comme en témoignait son sexe turgescent.
    
    Je connaissais ses jambes, belles comme celle d’un demi de mêlée, mais je pus enfin voir ses fesses d’athlètes. Comme j’avais envie d’y glisser ma langue !
    
    Et puis, naturellement, il était bien monté ; sans cela, il y a longtemps que papa et maman l’auraient invité pour des parties de Uno plutôt que pour des plans cul.
    
    Sa queue était dressée, à moitié décalottée, épaisse et légèrement convexe au sommet. Je salivais dessus, en admirant sa taille impressionnante et l’épaisseur de la toison pubienne. Ses couilles pendaient légèrement, lisses.
    
    — Allez, approche-toi ! dit papa en le guidant par la main.
    
    Il l’aida à s’asseoir juste devant la fente ouverte de la frangine.
    
    — Hmmm... ça sent la moule...
    
    — Vas-y !
    
    Il tendit ...
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