Fabienne ou le professeur de fessée-plaisir - Histoires de Sexe

Fabienne ou le professeur de fessée-plaisir

... avoir besoin d’un peu de féminité, vous ne croyez pas ?

Et Frederica d’enchaîner :

— Mais Fabienne, Philippe est deux fois plus jeune que nous. C’est vrai que Florence est belle, mais elle n’a plus 20 ans, tout comme toi et moi.
— Dites donc Philippe, trouvez-vous que votre cousine Florence paraît très vieille ?
— Non, répondis-je, je la trouve très féminine.
— Et moi comment me trouvez-vous ?
— Vous avez des rondeurs et beaucoup de charme.
— Et en plus je pense avoir beaucoup d’expérience.

Je vois Fabienne qui s’approche de Frederica qui est maintenant beaucoup plus détendu. Elle lui laisse un petit bisou sur la bouche :

— Notre jeune ami Philippe n’en peut plus, regarde-le d’un peu plus près tu verras qu’il est déjà très troublé.

A ce moment Fabienne me prend au niveau des reins et me pousse contre Frederica :

— Philippe, embrassez-la, elle en meurt d’envie et vous aussi.

Nos bouches se mêlent. Frederica embrasse très bien. Pour la première fois de ma vie je tiens dans mes bras une femme de cinquante ans. C’est délicieux. Fabienne profite de notre étreinte pour re-caresser les cuisses et les fesses de Frederica. Le baiser terminé, Fabienne nous sépare. Elle déshabille Frederica devant la glace en lui faisant de nombreux compliments sur son corps. Elle a la peau très claire. Ces seins apparaissent, ils sont un peu lourds mais superbes. Nue, la belle blonde aux yeux bleus est plus que désirable.

Maintenant c’est à mon tour. Je suis torse nu et ...

... elle m’embrasse partout. Elle me tend sa bouche, cette femme est une tornade. Maintenant elle défait mon pantalon, puis mon slip. Je suis nu devant elle et devant la glace. Elle caresse délicatement mes fesses et me dit :

— Vous avez un très beau buste mais ce que j’aime surtout ce sont vos fesses. J’adore les hommes qui ont des fesses de femme. Et toi Frederica comment les trouves-tu ?
— Comme toi, très belles, on aurait envie de faire certaines choses avec.

Tout en continuant ses caresses Fabienne me dit à voix basse et d’un air particulièrement excité :

— Je pense que Frederica et moi nous pensons un peu la même chose. Vos fesses sont tellement rondes et féminines qu’on aimerait bien voir un homme les caresser, les embrasser, et puis, pourquoi pas, vous pénétrer et vous faire l’amour.

Ces mots provoquent une excitation que je ne peux et ne veux pas retenir. Fabienne se déshabille seule. Elle a un peu de ventre, mais cela lui un donne un petit air sévère, un air de mère fouetteuse. Ses fesses sont un peu fortes mais bien formées et ses seins un peu lourds en forme de poire ne demandent qu’à être un peu maltraités tellement ils ont l’air sensible. Fabienne sent que je n’en peux plus. Elle mouille ses doigts dans sa bouche et avec une grande délicatesse pénètre ma rondelle et commence à faire des va-et-vient. Frederica se rapproche et prend mon sexe en main, il ne peut pas être plus dur. Je vois tout dans la glace. Fabienne me pénètre de plus en plus.

Soudain je ...