Fabienne ou le professeur de fessée-plaisir - Histoires de Sexe

Fabienne ou le professeur de fessée-plaisir

... laissée pour compte. Il me semble que la phrase en français qui me va le mieux est de dire que je suis une mal baisée qui reste toujours sur sa faim. C’est difficile aujourd’hui d’avoir un mari qui soit à la fois un gentil compagnon et un amant coquin.

Je vois Frederica se lever, très énervée après ce qu’elle vient de dire sur son mari. Elle est à côté de Fabienne qui tend sa main et la pose doucement derrière sa cuisse juste au-dessus du genou. Frederica reste figée, elle rougit. Alors Fabienne se met à remonter sa main lentement, très lentement le long des cuisses de son amie, sans parler. Arrivée presque au niveau des fesses elle lui dit :

— Philippe m’a dit tout à l’heure que j’étais une belle femme, mais si tel est le cas, toi ma chère Frederica tu es une très belle femme, très femme et c’est vraiment dommage que ton mari ne t’honore pas plus souvent. Et vous Philippe vous ne trouvez pas que notre amie est une femme très désirable ?

Frederica reprend :

— Florence m’a dit tout à l’heure que Philippe vient d’avoir 25 ans. J’en ai exactement le double, ne lui fais pas dire des bêtises.
— Et moi j’en ai 30 de plus que lui. Mais l’âge n’est pas un frein au désir. Regarde-le, quand il voit ma main sur ta cuisse cela ne le laisse pas si indifférent que cela.

Je vois Frederica en difficulté et j’interviens pour la tirer d’affaire :

— Fabienne vous savez, ce soir je vois plutôt en vous des amies même si vous êtes de belles femmes.
— Ah vous les hommes, ...

... jeunes ou vieux vous serez toujours des faux culs ! s’exclame Fabienne.

La nouvelle situation commence à me plaire. Mon intervention n’a pas sauvé Frederica et tant mieux. Le rosé de Loire commence à faire sentir sérieusement ses effets. Fabienne est de plus en plus énervée et caresse maintenant directement les fesses de son amie dont les joues passent au rouge permanent :

— Frederica et Philippe, lance Fabienne, allons dans le salon ce sera plus sympa de terminer la bouteille de rosé à l’intérieur.

Je me lève et je ramasse les trois verres. Fabienne tient la bouteille d’une main et Frederica par l’épaule. Sa main effleure légèrement son sein droit. Nous remontons tous les trois vers la maison. Je commence à penser que la soirée va être chaude. Arrivé dans l’entrée Fabienne s’adresse à moi :

— Philippe montrez-nous comment vous avez organisé votre chambre.

Nous montons alors tous les trois l’escalier de bois particulièrement craquant. Une fois à l’intérieur de la chambre, Fabienne jette un coup d’œil circulaire. L’armoire à glace éveille son attention.

— Dites donc Philippe cette chambre est très bien rangée, c’est votre cousine Florence qui s’en occupe ?
— Non c’est moi-même qui m’en occupe. J’aime ne pas dépendre des autres pour les tâches quotidiennes. Florence n’y est jamais montée depuis mon arrivée.
— C’est vraiment dommage car je n’aimerais pas laisser dormir seul un si charmant jeune homme. Il faut savoir calmer des moments de solitude. Un homme peut ...