Fabienne ou le professeur de fessée-plaisir - Histoires de Sexe

Fabienne ou le professeur de fessée-plaisir

Je fais un stage en août et septembre 1972 à Sully-sur-Loire chez un sous-traitant automobile. Pendant la durée du stage, j’habite à une vingtaine de kilomètres de chez Florence, une cousine de ma mère, mariée et mère de deux enfants. C’est une belle femme de 45 ans. Elle est souvent seule, son mari étant représentant industriel. Elle est peintre et a de nombreuses relations.

Mon stage a commencé depuis dix jours, les jours passent et sont très monotones. Un soir en rentrant de mon stage vers six heures je vois ma cousine Florence assise sur la terrasse avec deux amies. La première une femme assez grande bien proportionnée de type germanique et la seconde une femme bien en chair mais ne manquant pas de féminité.

— Bonsoir Philippe, me dit Florence, je te présente deux amies de peinture : Frederica une amie récente (une grande blonde aux yeux bleus) et Fabienne, mon amie de toujours.
— Je suis heureux de faire votre connaissance, dis-je à Frederica.
— Moi aussi, me dit-elle.
— Quant à vous, Fabienne, Florence m’a beaucoup parlé de vous. Vous avez un bon coup de pinceau paraît-il ?
— Mon jeune ami, on en dit beaucoup sur moi. Je peins bien, mais je ne suis ni Renoir, ni son modèle.
— Mais vous êtes une belle femme.
— Un peu ronde tout de même. Mais c’est vrai que pas mal d’hommes préfèrent un peu plus qu’un peu moins.

A cet instant Florence coupe la discussion et nous propose d’aller boire une bouteille de rosé de Loire autour de la table qui est près de la ...

... piscine. Il fait chaud et la première bouteille disparaît en deux coups de cuillère à pot.

A six heures et demi, Florence se lève.

— Je dois prendre mon tour de garde à l’exposition de peinture. Elle ferme à dix heures, mais avec tout ce qui se passe ensuite je ne pense pas être de retour avant onze heures ce soir. Philippe, occupe-toi de mes amies, il y a des salades et du fromage dans le frigo, vous pouvez faire un petit buffet sympa autour de la piscine. Si vous êtes courageux, je vous reverrai tout à l’heure.

Florence partie et étant arrivé au milieu de la deuxième bouteille, je relance la discussion avec Fabienne qui commence à me faire de plus en plus d’effets avec sa poitrine trop provocante :

— Vous disiez tout à l’heure que les hommes préfèrent un peu plus qu’un peu moins, vous parliez des modèles de peintre ?
— Pas du tout je parlais des hommes en général. C’est quand même plus agréable de faire un gros câlin avec une femme qui a du répondant qu’avec une femme qui n’en a pas. Regardez votre cousine Florence, son mari doit avoir beaucoup de satisfaction.

Ne connaissant pas réellement la vie intime de ma cousine je me dis que notre coquine de Fabienne sort une parole en l’air. C’est à cet instant que Frederica intervient :

— Je ne connais pas encore beaucoup Florence, mais d’après ce que je sais son mari préfère les femmes qui ont l’âge de Philippe. Moi je suis un peu dans le même cas, mon mari s’occupe de moi moins d’une fois par mois. Je suis une vraie ...