Autoroute A1 pour assouvir un fantasme
Datte: 08/09/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Lexi Logos, Source: Hds
... Mon type est dans la trente – quarantaine d’années. Et visiblement, il sait ce qu’il fait, où il en est et jusqu’où il veut aller ! Moi aussi d’ailleurs, je sais où je veux aller : au septième ciel ! mais comment et quand, cela ne dépend pas de moi !
Mon type entreprend à nouveau de me stimuler l’anus avec sa bite. Il m’a maintenant pris par la taille. Ses mains me tiennent fermement, sans brutalité, mais je sens bien qu’il est placé pour avoir la totale maitrise de mon corps.
Maintenant, son gland s’attarde plus fréquemment sur ma rondelle. Par petits « à coup », il pousse se verge vers mon cul. Il alterne ses vas et viens avec des périodes plus ou moins longue d’attentes. Cela excite ma libido, stimule mon érection, renforce la boule qui me prend les tripes. Petit à petit, je sens ma jouissance monter le long de la verge sans pour autant aller jusqu’à exploser.
Cela en devient un supplice. Un délicieux. Mais terrible supplice. Un supplice dont on souhaite qu’il cesse tout en espérant qu’il perdure !
De nouveau, le gland de mon type est posé sur mon anus.
N’y tenant plus, je prends une profonde aspiration et projette mes reins en arrière de toutes mes forces.
Je sens immédiatement le gland me forcer les sphincters. Mon type lâche un « enfin, il a compris ! ». Je l’entends à peine. Déjà, je me suis dégagé et j’ai reprojetté mes reins en arrière pour me réapproprié cette queue qui me parait énorme. Sans doute parce que je suis réduis à en deviner la taille, ...
... ou parce que mon désir est tel qu’un fétu de paille me donnerait autant de jouissance ? la réponse m’importe peu ! Ce qui compte est que mon désir s’épanouisse en une jouissance libératrice.
Très vite je sens la queue de mon type se raidir encore plus qu’elle ne l’est. Dans le même temps, je sens ma jouissance monter également.
Nous nous libérons au même moment, lui en moi et moi en large giclée de sperme qui viennent s’étaler sur le béton de la table.
Nous restons plusieurs minutes collés l’un à autre. Sa voix grave et douce me chuchote à l’oreille « tu es un sacré bon coup. Je passe ici tous chaque vendredi à samedi jusque 5H. ». Moi, je ne réponds rien. Je suis groggy. Je sens sa queue quitter doucement mon rectum au fur et à mesure qu’il débande. Ma jouissance a été peine et entière. Après un moment, je le sens qu’il se détache de moi. Il s’éloigne sans bruit.
Je reste encore quelques minutes sans bouger pour reprendre mes esprits. J’enfile ensuite mon short et mon teeshirt avant de rejoindre mon véhicule. En reprenant place au volant, la sensation de mouillé au cul me rappelle à la triste réalité du sodomisé qui pisse le sperme par le cul. J’en souri. Je suis seul avec moi-même et don mon seul juge !
Trente minute plus tard, je suis sous la douche à mon appartement. Le linge est déjà dans la machine à laver. Je me glisse entre les draps frais. Mes rêves et les bars de Morphée prennent vite le dessus sur la brulure qui me déchire le cul d’avoir été ainsi ...