Autoroute A1 pour assouvir un fantasme
Datte: 08/09/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Lexi Logos, Source: Hds
... l’air par les reins creusés, ne laissait aucun doute sur mon attente.
Une attente qui se fait plus longue que prévue ! Si je perçois des mouvements discrets dans mon dos, je ne perçois aucune initiative ! Petit à petit, le nombre des curieux augmente. La fréquence des allées et venues se fait plus dense. Je perçois maintenant des chuchotements, quelques rires gras vite étouffés. Visiblement, la proie offerte que je constitue librement intéresse, interpelle et fait hésiter !
Enfin, je perçois une présence dans mon dos, très proche. Silencieuse. Presque inquiétante de ne savoir quelles intentions précises l’habite. Puis une main rugueuse crasse ma croupe, palpe mes fesses.
Conformément à mon fantasme, je ne dis rien. J’ai décidé de n’exprimer aucun son, pour quelque motif que ce soit.
Bientôt, une autre présence se fait sentir. Sur le côté cette fois. Très vite un bassin se présente devant mon visage. Une paire demain assez fine, de ce que je peux en juger dans la faible clarté, baisse un pantalon de survêtement pour découvrir une bite de 16 – 17 cm de long. Pas très épaisse. Bien raide. Sans ménagement mais sans violence non plus, la main pousse ma nuque vers le gland et me le fait avaler. Je commence à sucer avec application. Mes lèvres font succion sur le gland. Puis j’avale la tige sur toute la longueur. Je recommence ainsi durant cinq bonnes minutes avant de sentir un spasme tout le long de la verge et une giclée bien épaisse de sperme que m’envahit la bouche. ...
... J’avale le tout avec difficulté mais j’avale. La bite à peine ramollie réintègre le pantalon de survêtement et s’éloigne sans bruit avec son propriétaire. Durant ce temps, mon visiteur arrière est resté à me caresser les fesses sans prendre plus d’initiative. A peine la pipe achevée, il s’éloigne. Un mateur sans doute.
Me voilà de nouveau seul, toujours le cul en l’air et loin d’être rassasié.
Je commence à me demander si je ne devrai pas m’en aller ou du moins de changer de coin.
Soudain, un frôlement me fait sursauter. Je ne rêve pas, une bite vient de frôler mes fesses. Pas de doute, le nouveau frôlement me fait reconnaitre le liquide séminal qui pointe au bout d’une queue. La bite frôle mon entre fesse, plus qu’elle ne le caresse. Le contact est doux, chaud. Agréable. Cela dure un bon moment jusqu’à ce que des mains fermes m’écartent bien les globes fessiers et qu’une langue vienne mouiller mon intérieur. La langue part de la base des couilles pour remonter doucement le long de la raie en s’attardant sur ma rondelle. Sublime. Tantôt la langue est plate et large. Tantôt elle est en fuseau et cherche comme à me pénétrer l’anus. Dans tous les cas, cela fait grossir en moi la boule de désir qui m’assaille les tripes depuis que mon inconnu m’a pris en main.
Le manège dure longtemps. Si longtemps que je finis par pousser un soupir gémissant, démonstratif de ma jouissance silencieuse. « Voilà, maintenant je te sais prêt ! », la vois est basse, grave et chaleureuse. ...