1. 0208 Très chaud sous la couette, et petits mots sur l’oreiller.


    Datte: 07/09/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... commencer à me pilonner la bouche sans répit, comme au bon vieux temps. Mon beau Jérém se lâche enfin : chassez le naturel, il revient au galop.
    
    Au rythme de ses coups de reins, mon nez s’enfonce dans ses poils pubiens, mon front cogne contre son mur d’abdos, ses petites odeurs de mâle remontent par mes narines et me mettent en orbite. Sa queue me défonce la bouche, mais pas au point de me faire mal, juste au point de me faire terriblement « mâle » : et ça, c’est délicieux.
    
    « Suce, vas-y, je sais que tu kiffes ça… tu kiffes ma queue… » fait-il, tout en m’enfonçant son manche bien profondément dans ma bouche.
    
    Je retrouve le Jérém domi. Je suis débordé par sa puissance virile, mais heureux.
    
    « Qu’est-ce que j’aime te sucer… » j’arrive à lui lancer, en sortant brièvement de mon apnée.
    
    « Ah, putain, c’est bon… tu suces comme un dieu… vas-y, montre-moi ce que tu sais faire… fais-moi monter le jus… » fait-il, tout en posant lourdement ses mains sur ma nuque et m’enfonçant à nouveau la queue jusqu’au bout de mon palais.
    
    Je brûle d’envie d’exaucer son vœux, d’exécuter son ordre ; mais en même temps, je ne veux pas que ça s’arrête aussi vite : je me dégage de la prise de ses mains et je quitte une nouvelle fois sa queue ; j’attrape ses hanches, je l’invite à pivoter sur lui-même, à se mettre face au mur. Après une première petite résistance, le bogoss se laisse faire ; je saisis ses fesses bien fermes et j’entreprends de lui faire une fellation de rondelle en bonne ...
    ... et due forme.
    
    Je le sens encore monter en température et en pression, je le sens monter vers une zone rouge très dangereuse. Ce qui explique la raison pour laquelle, malgré son kiff pour ce genre de plaisir, quelques instant plus tard à peine, le bogoss se retourne brusquement, il me fourre une nouvelle fois queue dans la bouche et recommence à envoyer de bons coups de reins. Ses gestes ont quelque chose de virulent, la virulence de son envie de jouir, au plus vite. Une virulence que je retrouve également dans les mots qu’il ne tarde pas à lâcher, la voix cassée par une excitation à son plus haut niveau :
    
    « Je vais jouir… et tu vas tout avaler… ».
    
    Je ressens alors un frisson qui manque de peu de me faire jouir sur le champ : car je reconnais instantanément les mêmes mots qu’il avait employés lors de notre première révision.
    
    J’ai sacrement envie de lui offrir ce qu’il demande ; mais en même temps, je lui ai promis un orgasme comme aucun autre ; ainsi, alors que le bobrun s’imagine jouir au plus vite dans ma bouche, je me déboite, et je recommence à titiller son gland sur le point de gicler.
    
    Un instant plus tard, tout s’emballe ; ses mains m’attrapent par les aisselles, m’obligent à me relever : le geste est rapide, brusque, animal ; la réaction en chaîne est amorcée, je ne peux plus l’arrêter, je perds le contrôle ; et c’est avec le plus grand bonheur que je me laisse faire. Je me retrouve à plat ventre, sur le lit ; Jérém crache sur ma rondelle, et il s’enfonce ...
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