Le cheminement
Datte: 07/09/2020,
Catégories:
fh,
volupté,
fsoumise,
hdomine,
pénétratio,
fdanus,
sm,
ecriv_f,
Auteur: Isilwen, Source: Revebebe
... Elle s’attaqua à une énorme courge, achetée au marché la veille, qu’elle fit en soupe. Ça l’occupa une bonne heure, mais tout lui rappelait la moiteur entre ses cuisses.
Un coup de fil l’occupa quelques instants, mais son excitation était obsédante. Elle précipita la fin de la conversation afin de ne pas laisser paraître son trouble. Assise à sa table, saupoudrant sa soupe de noix de muscade, ses yeux tombèrent sur la paire de gants qu’elle avait abandonnée là un peu plus tôt.
— Ok. C’est donc entre vous et moi !
Prenant le temps de finir sa soupe tout en imaginant son plaisir à venir, elle frottait ses cuisses l’une contre l’autre. Le repas expédié, elle débrancha son téléphone, craignant d’être dérangée dans son intimité. Avec les gants, elle passa dans sa chambre où elle fit glisser son peignoir au sol.
Elle se tourna vers le miroir en pied, disposé tout près du lit et se détailla un instant : ses cheveux éparpillés sur ses épaules accentuaient encore sa haute taille, glissant sur ses bras musclés jusqu’à ses seins, parfaitement ronds, les tétons rosés ; ils étaient fermes à n’en presque pas bouger lorsqu’elle se penchait. Continuant sa descente, elle arriva sur son ventre plat et finement musclé, laissant apparaître les droites de ses muscles, ce qui contrastait merveilleusement avec la courbe de ses hanches, accentuée par une taille très fine.
Du bout des doigts, elle caressa sa toison brune, une fine bande de poils qu’elle gardait courts, tel un léger ...
... tapis indiquant la région de son plaisir. Ses jambes, évidemment longues et aussi fines, la laissaient par contre assez indifférente. Cependant, elle ne résista pas au plaisir de pivoter sur elle-même pour admirer son petit cul bombé. Elle savait qu’à quatre pattes sur un lit, aucun homme ne pouvait y résister !
Se remettant de face, elle céda à l’envie de voir son sexe : posant alors un pied sur le lit, elle ouvrit largement les cuisses, offrant son intimité au miroir et à son regard gourmand. Elle était bien ouverte, une véritable fleur épanouie entre ses cuisses. Tentée de guider un doigt vers sa fente, elle arrêta là l’inspection, ne voulant pas jouir trop vite.
Elle posa alors les gants sur l’oreiller en s’allongeant sur le couvre-lit rugueux, à plat ventre. Le visage sur les gants, elle humait avec force leur parfum, se transportant de cette façon dans la boutique. Elle effleurait la couverture de ses tétons dressés et son pubis, imaginant se frotter au costume du gantier.
Lorsqu’elle sentit le haut de ses cuisses mouillées de cyprine, elle se mit sur le dos et enfila les gants. Ainsi, elle fit courir ses mains le long de ses côtes, de ses cuisses, pour revenir vers l’intérieur. Délicieuse sensation ! Fraîches, puis chaudes, ses caresses lui donnaient l’impression d’être touchée par des mains étrangères : l’image floue du vendeur était présente à son esprit. Les vagues de plaisir montaient en force et, lorsqu’elle toucha son sexe, elle put sentir au travers des ...