0217 Une soirée et une nuit que je n’oublierai pas.
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... d’accueillir ses giclées puissantes, de goûter à son jus bien chaud.
Mais le bogoss ne l’entend pas de la même façon. Il recule son bassin, il prive mes lèvres du contact avec sa queue raide. Il me met instantanément en état de manque.
Ses mains m’attrapent doucement par les épaules, m’invitent à me remettre debout. Je me retrouve à mon tour dos collé au mur. Alors que le beau rugbyman aux 28 abdos, aux pecs saillants et velus, aux épaules sculptées, aux biceps puissants, aux beaux cheveux bruns en bataille, est à genoux devant moi. Frissons indescriptibles pendant qu’il défait ma ceinture, puis ma braguette, lorsque ses gestes impatients font glisser mon boxer le long de mes cuisses. Puis, lorsque ses lèvres et sa langue rentrent en contact avec mon gland. Puis, encore, lorsque son buste et sa tête commencent à imprimer un mouvement de va-et-vient, lorsque ma queue disparaît et réapparaît entre ses lèvres.
Sucer Jérém me fait sentir très passif. Mais me faire sucer par Jérém me fait sentir très actif. Qu’est-ce que c’est bon que de se faire sucer ! Il y a le plaisir du corps, intense, insensé. Et il y a le plaisir de l’égo masculin, dont je découvre peu à peu tous les recoins, qui fait kiffer à fond le bonheur de voir l’autre désirer et rendre hommage à sa propre virilité.
C’est tellement excitant, et Jérém y met tellement d’énergie, que, très vite, je sens mon orgasme monter.
« Je vais pas tarder à jouir… » je lui lance, à la fois avertissement pour qu’il se ...
... retire à temps et demande non assumée de me laisser venir dans sa bouche. Quand on se fait sucer, on ressent très vite l’envie de jouir dans la bouche de celui qui suce.
Mais le bogoss ne semble pas avoir entendu mes mots. Ou, du moins, ne pas y prêter attention. Il continue de me pomper avec le même entrain. Non, j’ai même l’impression qu’il redouble d’entrain. Il empoigne mes fesses, et les mouvements de ses mains amplifient les va-et-vient de sa bouche.
Il n’y a plus de doute, nos envies se rejoignent, il a envie de me laisser jouir dans sa bouche. Et là, une nouvelle envie s’ajoute à la première et se presse dans ma conscience déformée par l’orgasme imminent. J’ai envie qu’il avale mon jus.
Je seconde ses mouvements avec mon bassin, je me laisse aller au bonheur de cette jouissance de plus en plus proche.
Et lorsque l’orgasme monte de mon entrejambe et irradie le plaisir dans tout mon corps, je perds pied.
« Vas-y, avale ! » j’ai envie de lui lancer. Trois mots qui tournent en boucle dans ma tête, qui m’obsèdent. Et qui manquent de peu de glisser sur mes lèvres.
« Vas-y… » je me laisse échapper, m’arrêtant juste à temps.
Happé par mon orgasme, je laisse mes mains se poser sur sa nuque, mes doigts se crisper dans ses cheveux. Mes giclées sont nombreuses, chacune d’entre elles me secoue de fond en comble, fait évaporer un peu plus ma conscience. Lorsque cela s’arrête, je suis assommé, je suis KO.
Lorsque Jérém se relève, je m’attends à ce qu’il aille ...