1. 0217 Une soirée et une nuit que je n’oublierai pas.


    Datte: 06/09/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... en ivresse, je soulève son t-shirt blanc. J’ai besoin de voir ses poils bruns, de plonger mon nez dedans, j’ai besoin de lécher et de mordiller ses tétons.
    
    Mais quelques instants plus tard, le bogoss se met à l’aise, me met à l’aise. Il fait voler le t-shirt blanc. J’ai beau connaître sa plastique par cœur, à chaque fois qu’elle se dévoile à mes yeux, c’est toujours la même claque inouïe.
    
    Naaaaaan, mais, vraiment, ce mec va finir par me mettre ko. Putain, qu’est-ce que c’est beau que cette tenue, torse nu sur jeans, jeans duquel dépasse l’élastique blanc du boxer. Et qu’est-ce qu’elle est belle cette aisance à exhiber ce corps parfait ! Mon Jérém, bogoss drapé de sa jeunesse et de sa virilité.
    
    Ses mains défont sa ceinture, puis le premier bouton du jeans. Entraînés par les deux bouts de cuir ballants, les deux pans du denim s’écartent un peu, et un petit aperçu du boxer se dévoile.
    
    Le bogoss dégaine son arme de destruction massive, son sourire lubrique à hurler. Puis d’un regard rapide dirigé vers son boxer, il m’indique sans détour la nature de ses envies.
    
    C’est une image de bonheur. L’image du mec qui s’apprête à sortir sa queue pour se faire sucer. Mais il ne le fait pas tout de suite, et il ne le fait pas lui-même. Il me montre le chemin, il me donne envie de le faire moi-même.
    
    Et ça marche. Dans la seconde, je suis saisi par une violente envie d’œuvrer à ses genoux pour voir une nouvelle fois sa jolie petite gueule se transformer sous ...
    ... l'orgasme.
    
    Je lui souris à mon tour. Un instant plus tard, je suis à genoux devant sa virilité incandescente. Je défais les derniers boutons de sa braguette, je caresse le coton doux du boxer, dont la toile est tendue sous l’effet du désir violent de sa queue. Je pose mon nez et mes lèvres sur le tissu fin, je m’enivre des petites odeurs de mâle qui se dégagent. Jérém renverse la tête en arrière, soupire de plaisir. Il attrape alors lentement mais fermement ma tête à moi, pour la plaquer contre sa bosse.
    
    Je saisis l’élastique de part et d’autre de son bassin, je le fais glisser lentement vers le bas. Son manche tendu et chaud se dévoile. Je l’avale d’une seule traite et je commence à le pomper comme un fou.
    
    Pendant que je le suce, le bogoss caresse mes tétons, mes cheveux, mes épaules. Cette façon de me renvoyer du plaisir me donne des frissons de malade. Mon excitation grimpe en flèche, mon envie de lui faire plaisir est décuplée, et mes va-et-vient redoublent d’entrain.
    
    « Doucement, sinon je vais jouir très vite » il me chuchote, la voix éraillée par le plaisir qui commence à le submerger.
    
    Débordé par mon excitation, je n’arrive pas à m’arrêter. D’autant plus que son invitation à calmer mes ardeurs ne fait au contraire que les faire flamber un peu plus encore. De ses mots, je n’ai retenu que « je vais jouir ». Et c’est précisément ce dont j’ai envie, besoin, furieusement besoin, à cet instant précis. Je ressens un besoin impérieux de le sentir jouir dans ma bouche, ...
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