0217 Une soirée et une nuit que je n’oublierai pas.
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Fab75du31, Source: Hds
... profiter de mes chevaux ».
« Tu auras des vacances ».
« Oui » fait-il, dubitatif.
« Tu m’as espanté ce soir » je lui lance, après un instant de silence pendant lequel nos mains se sont cherchées, nos doigts entrelacés, nos esprits mélangés.
« Pourquoi ça ? ».
« Ce que tu as fait devant tout le monde… ».
« T’as pas aimé ? ».
« Si… bien sur que si… mais je ne croyais pas que tu… ».
« J’en avais envie… j’avais envie de savoir ce que ça fait d’assumer… ».
« Et alors, ça fait quoi ? ».
« C’est pas si compliqué au fond. Et ça soulage ».
« C’est vrai que ces gens sont géniaux ».
« Ce qu’à dit ce gars, ça m’a touché ».
« Florian ? ».
« Oui, c’est un bon gars ».
Ce soir, j’ai très envie de mon bobrun. J’ai très envie de faire l’amour avec lui. Mais, plus encore que de faire l’amour, j’ai envie de le serrer contre moi, de le couvrir de bisous et de câlins et de ne plus jamais le quitter.
Lorsque nous arrivons à la petite maison, il pleut à seau. Nous sortons de la voiture en vitesse et nous nous engouffrons dans le petit refuge en bois. Hélas, le feu est éteint. Dans le petit séjour, il fait frais, il fait presque froid. Sans le feu, ce n’est pas du tout la même ambiance.
Mais Jérém semble avoir l’intention de me faire oublier ce petit détail. La porte d’entrée claquée derrière nous, il me plaque contre le mur, il me prend dans ses bras, il m’embrasse fougueusement. Sur la bouche, sur le visage, dans le cou. Le bobrun est déchaîné, ...
... son envie de câlins semble insatiable. Des câlins et de bisous que je lui rends avec la même ardente intensité, tout en me demandant où cette escalade de mamours va nous amener.
Quelques instants plus tôt j’avais surtout envie de câliner mon Jérém. Mais désormais, ces câlins ont entrainé l’excitation des sens. J’ai très envie de lui. Mon Jérém est tout aussi ivre que le soir précédent, et je sais à quel point l’ivresse peut le désinhiber sexuellement.
« Ne bouge pas » il me lance à un moment, en arrêtant net ses bisous, et s’éloignant de moi.
Le bobrun remet du bois dans la cheminée et en deux temps trois mouvements, il fait repartir un joli feu. Très vite, la flamme répand dans la pièce sa chaleur, sa lumière mouvante, son crépitement, le bonheur de se sentir protégé et aimé dans ce petit refuge où rien ne peut m’arriver.
Jérém revient auprès de moi, il dézippe le pull à capuche, dévoilant ce t-shirt blanc qui restitue si bien le relief de ses pecs. Je me débarrasse de mon blouson à mon tour. Et alors qu’il m’embrasse à nouveau, je ne peux résister à la tentation de glisser mes mains sous son t-shirt, de laisser les bouts de mes doigts trébucher sur le terrain « accidenté » de ses abdos, de chercher le contact avec ses poils doux, avec ses tétons saillants, de m’enivrer de ce bonheur tactile fait de fermeté et de douce chaleur.
Le bobrun en fait de même, il glisse ses mains sous mon t-shirt, ses doigts pincent mes tétons et me rendent dingue. Je vais de caresse ...