Cours de nuit - Histoires de Sexe

Cours de nuit

... mon infidélité maintenant, alors que la chance s’est chargée de détourner son regard et ses soupçons. Mais il faut que je trouve à lui répondre. Soudain, une idée.

— Je voulais te dire que j’avais bien aimé – tu as dû le voir d’ailleurs – la façon dont tu m’as fait l’amour. C’est plus rude, plus direct, dis-je, en baissant les yeux.

Mais en les relevant et affrontant son regard, j’ajoute :

— Vraiment, c’était très bon. Peut-être que ce que tu as vu du trio t’a inspiré ?

Il sourit.

— C’est vrai. D’ailleurs, je me demandais… si tu étais d’accord, bien sûr. Moi, je ne serais pas opposé à… même que nous devrions découvrir d’autres choses.
— Mais quoi donc, mon chéri ?
— Ne te fâche pas si tu n’es pas pour.
— Promis.
— Eh bien, voilà : et si nous invitions un homme avec nous ? Tu vois…
— Un trio, tu veux dire. Un peu comme ce que tu as vu tout à l’heure ?
— Oui. Cela ne te choque pas ?
— Mais non, si c’est toi qui le demande.
— Ah ! Alors, bien.

Un silence s’installe. Il est devant moi, et moi je suis assise sur la table. En baissant les yeux, je vois que son sexe a déjà repris de la vigueur. Pas de doute que l’idée d’un autre homme l’excite. Je saisis sa queue avec ma main. Nous nous sourions.

— Tu sais, moi j’ai une autre idée… dis-je alors que je m’agenouille devant lui.

Son sexe est humide, gluant, sentant le sperme. Mais il est dur, vaillant et vibre dès que je pose mes lèvres sur lui.

Je le quitte. Avant de replonger, je dis dans un ...

... souffle :

— Pourquoi un homme seul ?

Je l’enfourne au plus profond. Mon mari a-t-il conscience que maintenant je peux le gober entièrement ? Merci à mes amants qui m’ont, un peu, forcée.

— Pourquoi pas un couple ?

Ses boules roulent dans la paume de ma main.

— Moi aussi j’aimerais te voir avec une autre.

Ma bouche le pompe, et pour la première fois j’ose glisser un doigt vers son anus.

— Oui, une femme que tu pourrais prendre et qui te sucerait pendant que son mari me baiserait.

Mon doigt pousse et déflore l’anus de mon mari qui ne se refuse pas. Il ne peut retenir un gémissement, et dans un souffle dit :

— Oui, tu as raison. Mais qui ?

Je ne réponds pas tout de suite. J’active mon doigt et y joins un autre. La corolle ne s’y oppose pas. Je lui baise le cul et le suce en même temps. Sa queue semble grandir encore. Mon cerveau est en plein délire. Déjà j’imagine tout ce que nous pourrions faire à quatre. Et puis une image supplante toutes les autres. Je vois… je vois… mon mari à quatre pattes. Moi qui lui ouvre les fesses pour y guider le braquemart d’un homme. Déjà je vois la queue disparaître et j’entends mon mari qui gémit. Qui gémit mais tortille du cul comme le fait une femme qui se fait prendre.

— Je crois que j’ai une idée de qui ! dis-je, abandonnant la queue un court instant.

Et lorsque je replonge, il jouit et me balance sa purée.

« Et de quatre ! Il y a des jours bénis. Je deviens salope, mais à partir de maintenant mon mari va ...