1. Cours de nuit


    Datte: 17/04/2018, Catégories: fhh, profélève, gymnastiqu, strip, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... lorsqu’il a découvert son épouse entre deux hommes. Je serais bien ingrate de lui refuser ce qu’il veut. Heureusement, je me suis sommairement essuyée des traces laissées par mes amants et on ne doit rien voir. J’imagine que trouver le sperme d’un autre sur sa femme doit être une épreuve terrible.
    
    Je l’aide à se déshabiller. Nous voici tous les deux face à face.
    
    — Tu es belle. Plus belle que la femme que j’ai vue tout à l’heure.
    
    Je me retiens de pleurer devant cette déclaration d’amour. Il considère que celle qu’il a vue tout à l’heure est une salope, une garce qui se laisse guider par ses bas instincts alors que la femme qui est devant lui est une autre. Est-ce le début d’un pardon ?
    
    — Elle faisait une fellation à un des hommes…
    
    « Que dois-je faire ? Est-ce la demande de le reproduire ? Veut-il exorciser sa vision en devenant acteur et non pas voyeur ? Et s’il avait été plus excité que choqué ? Après tout, il me l’a dit tout à l’heure ! Cela existe, les maris qui aiment voir leur femme avec un autre. »
    
    Je n’hésite plus. Je plonge. Je m’agenouille comme je l’ai fait devant mes amants, comme il a dû voir. Je gobe son sexe déjà tendu. Je m’applique à me montrer gourmande, léchant et suçant la tige et son gland. Mieux, je gobe ses couilles, l’une après l’autre pendant que je le branle. Mes lèvres rampent millimètre après millimètre, et pour la première fois avec lui j’arrive à le prendre entièrement. Je n’ose lever les yeux, mais je sens son regard.« À quoi ...
    ... pense-t-il ? Essaie-t-il de comparer avec ce qu’il a vu ? » Je m’active, transformant mes lèvres en un anneau de chair qui branle le mandrin.
    
    Il gémit. Je suis rassurée. Au moins, je ne le dégoûte pas.
    
    — Maryse, tu suces comme une reine. L’homme disait « comme une salope ». Cela ne te choque pas ?
    — Mon chéri, je n’ai rien à te refuser.
    — Allonge-toi là, s’il te plaît.
    
    D’un geste, il repousse les objets qui encombrent la table et m’y fait allonger. Sans attendre, il saisit mes jambes pour les placer sur ses épaules et place sa queue contre mon minou. Je ne reconnais plus le mari délicat, toujours glissant sa queue avec douceur dans ma grotte. Le spectacle de tout à l’heure a dû lui montrer que je ne refuse pas – mieux, que j’apprécie – un peu de rudesse. Il entre d’une poussée. Il s’immobilise. Est-il en train de penser que sa propre queue coulisse si facilement parce que mes amants y ont abandonné leur jus seulement une heure plus tôt ? En tout cas, cela ne semble pas le perturber. Au contraire, il commence à me baiser avec une violence inaccoutumée. Il ne me traite plus comme une poupée fragile, mais plonge son dard jusqu’à ce qu’il vienne buter au fond, claquant son pubis contre mes fesses.
    
    Je m’accroche à la table tellement il est puissant. Son visage est crispé, ses yeux fermés. Cherche-t-il à se souvenir ?
    
    Petit à petit, je sens une chaleur en moi. Une sensation que j’avais perdue avec lui et que mes amants m’apportaient. Il doit le sentir. Mes ongles ...
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