1. Cours de nuit


    Datte: 17/04/2018, Catégories: fhh, profélève, gymnastiqu, strip, Oral pénétratio, Partouze / Groupe confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... s’incrustent dans ses fesses, le forçant à continuer. La pièce est remplie du bruit de nos corps, de mes gémissements, de la table qui grince.
    
    — Ouiiiii…
    
    L’orgasme me submerge.
    
    Une jouissance que j’avais perdue avec lui. Cette fois-ci, pas la peine de simuler. J’ai vraiment mon plaisir. Un de plus ce soir. Cette pensée me ramène sur terre.
    
    Marc continue. Plus lentement, frottant son gland sur mes petites lèvres comme il le fait lorsqu’il veut se finir. Mais il sort. Il fait le tour de la table. Me tire comme un paquet de linge. Ma tête est dans le vide. Je comprends son désir lorsqu’il me présente sa queue. Elle est énorme, rouge, brillante de liquide. Il me la pousse dans la gorge sans retenue. À nouveau, je ne retrouve plus mon mari. Il se baise sans retenue. Ses couilles frappent mon menton. Je tousse, je pleure, je crache, ma salive coule. Chaque poussée déclenche un clapotis infâme mais que j’imagine érotique pour lui.
    
    Il ne se retient plus. Ses mains se saisissent de ma tête, m’immobilisant pour se baiser entre mes lèvres. Je ne suis qu’une chose entre ses mains. Est-ce une vengeance de mon infidélité ?
    
    Ma gorge est brutalement inondée par sa semence. Des flots impétueux qui me noient. Pourtant je sais qu’il ne sécrète pas des litres ; mais en cet instant, l’Amazone semble un ruisseau en comparaison.
    
    Enfin il se retire et je peux redresser la tête, me permettant de déglutir et d’avaler son sperme. Bien sûr, il me regarde faire. Bien sûr, il m’a vue ...
    ... le faire avec la crème de mes amants.
    
    J’attends le coup de grâce. C’est maintenant qu’il va me mettre devant mes responsabilités. Un sursaut de dignité me fait dire :
    
    — Chéri, j’ai quelque chose à t’avouer.
    — Oui, attends. Avant, moi je voudrais m’excuser.
    — T’excuser, mais de quoi ? C’est moi qui…
    — Non, tu sais, tout à l’heure j’ai pensé que c’était toi.
    — Moi ?
    — Oui, lorsque j’ai entrevu la femme avec les deux hommes, j’ai pensé que c’était toi.
    — Mais…
    — Je comprends que tu m’en veuilles. J’ai douté de toi. Lorsque j’ai pu voir son visage, j’ai compris que j’avais été ridicule d’avoir eu une telle pensée.
    
    « Mais de quoi parle t il ! Je ne comprends plus rien. »
    
    — Mais dans quelle salle tu étais ?
    — Je ne connais pas le numéro. Au fond d’un couloir. Une pièce où il y avait un rideau noir. Au deuxième étage.
    
    Au deuxième étage ! Je me retiens pour ne pas hurler. Mes cours sont au troisième. Ainsi, ce n’est pas moi qu’il a vue. Mais alors qui ?
    
    — Et cette femme, elle était comment ?
    — J’ai juste aperçu son visage. Je ne la connais pas. Elle avait les cheveux très courts, blonde.
    
    « Une blonde aux cheveux courts ! Et si c’était Clarisse, ma prof de danse ? Une coïncidence ? Elle baisait pendant que son mari était avec moi ! Et si tout cela était calculé ? Si elle m’avait foutu son mari dans les pattes ? S’ils étaient complices ? »
    
    — Au fait, tu voulais m’avouer quelque chose ? me rappelle mon mari.
    
    Merde. Je ne vais tout de même pas avouer ...