1. Mes débuts dans le commerce (1)


    Datte: 17/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... tôt. Il était neuf heures, il fallait que j’ouvre boutique, le patron est arrivé vers onze heures, j’avais déjà fait quelques ventes. Claude m’a salué comme les autres jours, m’a demandé comment s’était passée la journée d’hier, je lui ai fait un rapport détaillé ; il était satisfait. Dans la réserve il y avait un bureau commun avec celui d’Élodie, il y avait deux ordinateurs un pour chaque boutique. Bizarrement ce matin-là il était plus tactile, avec moi je ne dirais pas paternelle mais un peu dans le genre ; il s’est permis de redresser ma cravate de me refaire un peu mon col de chemise.
    
    Cela ne me dérangeait pas, je trouvais que cela augmentait la convivialité au sein de l’équipe, il a même été jusqu’à me recentrer la boucle de ma ceinture en réserve. L’effet de surprise, fit que je n’ai pas eu le temps de réagir, mais je trouvais ça gentil de sa part. Plus la journée passait et plus il avait des petits gestes délicats et affectueux à mon égard, il n’y avait rien de condamnable et je n’osais rien dire car j’avais peur que sa femme l’ait mis au courant. Plus le temps passait et plus ces gestes délicats à mon égard commençaient à me troubler, il ne m’empêche pas de travailler donc il pouvait continuer. Quand sa femme est arrivée dans l’après-midi, ils sont restés dix minutes ensemble puis lui est parti jusqu’au lendemain. Sachant que dans sa boutique il n’y avait qu’une vendeuse et dans la nôtre il n’y avait qu’un vendeur et moi ; elle savait que si elle me mobilisation, ...
    ... les deux autres personnes ne pourraient pas quitter leur poste. Elle était vêtue ce jour d’un magnifique chemisier, sans doute en soie, et d’une jupe longue, douce et très fluide, sans doute en viscose. Rien que sa tenue ne me laissait pas indifférent, elle devait avoir vingt-cinq ou vingt huit ans de plus que moi mais elle me faisait très envie.
    
    Elle n’a pas été bien longue à me coincer dans la réserve et me caresser et bien évidemment, j’ai immédiatement réagi. Je n’avais pas le choix de l’initiative, c’est Élodie qui dirigeait tout, elle menait les opérations et je ne faisais que me laisser faire. Elle m’a fait agenouiller devant elle puis s’est pour ainsi dire assise sur deux cartons pleins l’un sur l’autre. Elle m’a invité à la débarrasser de sa culotte, qui avait l’air bien humide, c’est docile soumis et obéissant à cette femme fort désirable, que je me suis exécuté.
    
    — Viens me nettoyer, mon berlingo, n’attendait que toi.
    
    — Tu vas voir qu’avec le temps, tu ne pourras plus te passer de brouter un minou ou de faire ma toilette intime d’une femme.
    
    — En moins de vingt quatre heures, je suis en train de constater que tu as un énorme potentiel de soumission et cela me plaît beaucoup.
    
    Pendant que j’étais en train de la défaire de sa culotte pour ensuite passer à l’action, je réalisais que comme le disait Élodie j’étais en train de me soumettre à elle. Bien que ne voyant pas grand-chose, je devinais une abondante toison mais très bien entretenue.
    
    Voilà comment ...
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