1. Mes débuts dans le commerce (1)


    Datte: 17/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    Salut c’est votre folle de lycra
    
    J’ai attaqué la vie active comme vendeur dans un magasin de vêtements pour hommes. Claude, mon patron, était un quinqua dans la force de l’âge, du haut de son mètre quatre vingt-dix, il savait se faire respecter mais était très cool avec son équipe. C’était un homme qui aimait les femmes, les collègues et moi avions de sérieux doutes sur sa fidélité auprès de sa femme. Sa société était à ce point florissante qu’il avait acheté la boutique d’à côté pour sa femme dont elle a fait un magasin de prêt-à-porter féminin. Cela leur permettait de se surveiller mais surtout de pouvoir ne pas se quitter de la journée. Les deux boutiques communiquaient, nous savions que régulièrement notre patron s’occupait de sa femme dans l’une ou l’autre réserve. Personnellement je trouvais sa femme fort désirable et j’aurais bien voulu être à la place de mon patron le midi ou le soir après le boulot à honorer son épouse Élodie dans la partie cachée du magasin. Bien que cette femme ait largement l’âge de ma mère je peux vous avouer qu’il m’est arrivé souvent de me faire un petit plaisir le soir, avant de m’endormir, en pensant à elle.
    
    Régulièrement j’étais sollicité pour faire des heures supplémentaires pour effectuer un inventaire ou dans l’un ou dans l’autre magasin. Cela me troublait à chaque fois de faire l’inventaire du côté d’Élodie car tenir les vêtements féminins dans mes mains me de perturbait. J’étais encore jeune et innocent et n’avais vu un un ...
    ... minou qu’une fois, en vacances celui de ma cousine Sophie. Il y avait un inventaire tous les deux mois, ce qui permettait de présenter des chiffres exacts dans les stocks et surtout de pointer le vol. Un jour la patronne qui était de ma taille, mais un peu plus carrée a constaté ma gêne avec ses vêtements, elle m’a demandé ce qui m’indisposait et je lui ai répondu que je n’avais pas l’habitude de toucher des vêtements de femmes encore moins des dessous intimes.
    
    — Tu n’as jamais vu une femme toute nue.
    
    — Tu n’as jamais vu une femme se dévêtir devant toi.
    
    — Ne me dis pas que tu n’as jamais touché une femme.
    
    Je vous laisse imaginer combien ces questions me mettaient mal à l’aise.
    
    En joignant le geste à la parole elle a pris mes mains pour venir les poser sur sa poitrine, c’était la première fois de ma vie que je faisais ça et je peux vous garantir que cela me troublait énormément, si vous voyez ce que je veux dire. Heureusement il n’y avait personne autour de nous, l’heure du déjeuner venait de passer, les collègues étaient partis manger un petit quelque chose et les clients étaient repartis bosser ; mais surtout mon patron s’était absenté pour la journée. En quelques secondes j’avais une érection et Élodie devinait parfaitement sa présence.
    
    — Je vois que tu es hyper sensible et surtout que je ne te laisse pas indifférent.
    
    Elle avait parfaitement compris ce qui se passait à l’intérieur de moi, là où j’ai complètement perdu la face, c’est quand elle est venue ...
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