1. Mes débuts dans le commerce (1)


    Datte: 17/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... d’Élodie à humer. Voilà bien longtemps que je fouillais dans le bac à linge pour récupérer des douces pièces de tissu de ma maman. Ou elle ne disait rien car ne s’en rendait pas compte, ou elle préférait se taire pour ne pas me mettre mal à l’aise, toujours est-il que c’était un sacré complément qui m’aidait le soir sous les draps.
    
    Je ne sais pas ce qui m’a pris mais ce soir là, pendant que j’étais en train de me tirer sur l’élastique en plus d’Élodie j’imaginais parfaitement ma maman me faire une fellation. Vous comprendrez par ces mots que Geneviève ne me laissait pas indifférent elle était séparée de mon papa depuis bien longtemps. J’avais aussi une grande sœur des dix ans de plus que moi qui sans doute serait aussi belle qu’Élodie à son âge. Heureusement que Coralie ne savait pas qu’il m’était arrivé de me palucher en pensant à elle. En fait j’ai toujours été attiré par les dessous féminins et même les tenues quand elles étaient très douces. Dans la nuit ainsi accoutré, je me suis réveillé pour me refaire à nouveau un plaisir, c’est vous dire combien j’étais excité après ce qui m’était arrivé la veille. Au réveil le matin je vous laisse imaginer combien j’avais la tête dans le potage, j’avais l’impression d’avoir baisé toute la nuit. Il ne s’agissait pas que je traîne au lit, car il arrivait à ma mère de venir me réveiller même si j’avais passé un peu l’âge de ça.
    
    Je me suis levé pour aller prendre mon petit déj’ j’ai enfilé un pyjama par-dessus ma p’tite culotte, ...
    ... maintenant en plus de l’odeur de minou il y avait une odeur de sperme qui rôdait autour de moi. Il était impératif que je parte prendre ma douche avant d’aller bosser. Cela a été plus fort que moi quand je me suis habillé pour partir dossier je n’ai pas pu me retenir d’enfiler le tanga que m’avait donné Élodie. Ma mère avait de la chance, elle partait travailler à pied, alors que moi je partais un peu plus tôt et comme tous les matins quand je suis parti j’ai eu le droit à une petite claque sur les fesses de sa part. Il y a des fois où je me demandais si Geneviève ne me couvait pas trop, ne me protégeait pas trop, ne me mettait pas trop sous une cloche, pour m’éviter tous les malheurs du monde. Ce sentiment maternel était très beau, mais n’était-ce pas trop pour le jeune adulte que j’étais maintenant. Pour l’instant je n’ai eu que de chastes de relations avec mes petites copines, qui ne se sont rendu compte de rien.
    
    Comme d’habitude je suis arrivé au boulot comme si de rien n’était, j’étais d’ouverture et j’ai croisé la collègue qui était d’ouverture dans la boutique de la femme de mon patron. Manifestement elle n’était pas au courant des confessions de sa patronne. J’ai préparé la caisse, j’ai fait un petit facing dans le magasin en m’assurant que tout soit bien présenté et que les étiquettes soient apparentes. Vu que j’avais fermé la veille et il n’y avait pas de consigne, j’ai eu le temps de me préparer tranquillement, l’avantage c’est qu’aujourd’hui j’allais partir plus ...
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