1. Les classes (1)


    Datte: 02/09/2020, Catégories: fh, extracon, uniforme, Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, historique, Humour Auteur: Lefolduroy, Source: Revebebe

    ... répugne mais ma servante m’ayant instruite que cette pratique était source aussi de plaisir alors prenez ma virginité de ce côté-là.
    — Je serai doux et vous promets de cesser si la douleur était par trop insoutenable. Mettez-vous à quatre pattes, je vais badigeonner votre anus d’une crème permettant de faciliter l’intromission.
    
    Je pris une noisette de produit et entrepris de lui faire un doux massage et d’introduire un doigt. Ce dernier rentra facilement ; par conséquent, je le ressortis et tentai de mettre deux doigts. Je sentis une crispation.
    
    — Détendez-vous, je vais caresser votre abricot et vous verrez que vous allez vous habituer à avoir deux doigts dans votre anus.
    — Aah ! Cette médication était la bonne, mettez votre vit dans ma rosette !
    
    Je présentai mon gland à l’entrée de son délicieux trou et doucement je forçai pour me frayer un passage ; cela se fit non sans mal sans pour autant que ma compagne ne me demandât de renoncer. Une fois cette étape franchie je progressai petit à petit dans son orifice qui s’était dilaté. Je fus tout entier en elle et restai un moment sans bouger pour qu’elle s’habitue à ma présence.
    
    — Je me suis habituée à votre colonne de chair qui m’empale et je veux maintenant sentir votre va-et-vient dans mon petit trou.
    — Je ne peux que vous féliciter d’avoir passé votre peur et dois vous avouer que vous êtes bien serrée ce qui me plaît au plus haut point !
    
    Je commençai de petits mouvements.
    
    — Allez-y plus fort maintenant ...
    ... que je suis damnée mais que cette damnation est bonne !
    — Soit ! hein ! hein !
    
    Je la besognai avec vigueur.
    
    — Aah oui ! Encore encore ! Aaah !
    — Je vais jouir !
    — Moi aussi déversez-moi votre foutre dans mon fondement !
    
    Je commençai à gicler quand la porte de la chambre s’ouvrit à grands fracas. Diantre c’était son mari qui était revenu plus tôt que prévu de la guerre ! Je déculai immédiatement et me rhabillai précipitamment.
    
    Le mari cocu me dit avec une colère mal contenue :
    
    — Je vous demande réparation !
    
    Il enleva violemment son gant et me souffleta ; le message était explicite : il me provoquait en duel. Étant gentilhomme, je ne pouvais souffrir une telle offense quoique dans le métier des armes je m’y entendais moins que lui soudard de profession. Je n’aurais à n’en pas douter à invoquer Athéna Niké pour espérer vaincre dans ce combat par trop inégal.
    
    — Soit j’accepte, je vous avouerai une préférence pour la rapière qui magnifie l’art du duel ; ce que ne font pas les pistolets, cela vous agrée ?
    — Fort bien je vous propose demain à l’aube.
    — Soit Monsieur j’y serai.
    — C’est la dernière fois que vous voyez ma catin de femme qui ira expier dans un couvent.
    — Votre femme n’est point coupable de ce forfait moi seul en suis responsable. Décharger votre courroux sur vous-même. En effet, j’ai souvenance que vous preniez vos aises avec la morale et ce n’est que juste châtiment d’être cornu maintenant ne vous en déplaise. Demain vous baignerez dans votre ...
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