Les classes (1) - Histoires de Sexe

Les classes (1)

... dans une belle complétude. Je commençai des petits mouvements.

— De grâce ne vous économisez pas, vous avez embrasé mes sens mais je suis sûre que vous pouvez me faire voyager encore plus loin.

Je ne la détrompai pas et j’entamai des mouvements plus profonds et plus rapprochés ; quel plaisir de pénétrer ce si joli fourreau. J’aime le mélange de raffinement et d’animalité dans cet acte, l’alternance entre douceur et force. Merveilleux ballet quand les corps s’accordent à la recherche du plaisir. Elle n’était pas en reste et prenait des initiatives pleines d’inventivité pour parvenir à notre jouissance commune.

— Aaah vous me faites jouir ! Venez me rejoindre !

Cette invite était la bienvenue car je n’aurai pu me retenir plus longtemps.

J’enlevai mon préservatif et lui demandai :

— Me feriez-vous l’honneur de recevoir ma semence dans votre bouche ?
— J’abhorre cette pratique et je ne l’ai jamais autorisée à mon mari mais vous m’avez fait découvrir que le sexe peut être un plaisir et non un devoir conjugal alors soit.
— Aaaah !

Elle m’avait pris en bouche et j’avais déversé dans ce merveilleux réceptacle. À ma grande surprise, elle avala tout et nettoya même mon vit pour me dit-elle n’en perdre une seule goutte. Devant cette admirable attitude, je lui dis :

— Les chemins qui mènent au plaisir sont multiples et variés et je sens s’épanouir en vous une appétence trop longtemps brimée par qui nous savons.
— Oui j’aurais plaisir à recommencer, me ...

... dit-elle d’un sourire coquin.
— Tout le plaisir sera pour moi soyez-en assurée. Sur ce, je vous laisse et m’en vais me reposer en mon château.

Comme de bien entendu, je revins vers elle car elle me l’avait si gentiment demandé et ce furent de très grands moments de plaisirs mais ce qui devait arriver arriva… J’arrivai un beau matin pour la voir, je me dirigeai directement dans sa chambre. Elle dormait, je me déshabillai et me coulai dans son lit. Je souhaitais la réveiller à ma façon. Je passai une main sous sa chemise de nuit et commençai à lui caresser son coquillage ; elle écarta instinctivement les jambes pour me laisser une plus grande liberté de passage. J’en profitai pour remplacer ma main et placer ma tête pour lécher ce trésor. Elle se réveilla et releva sa chemise de nuit pour voir qui avait osé se glisser dans son lit et prodiguer des doux soins à son intimité.

— Ah c’est donc vous mon bon ami qui réveillez les femmes de manière aussi gracieuse !
— Oui je ne puis nier que vos charmes juste suffisamment cachés, pour entrevoir de belles promesses, par cette chemise de soie m’aient incité à de cette manière vous réveiller !
— Puisqu’il en est ainsi à moi aussi de réveiller votre membre.

Elle prit les affaires en main et d’un mouvement empreint d’une grande délicatesse tenta de donner bonne vigueur à mon vit ; ce qu’elle réussit sans coup férir.

— Ma mie je brûle de vous demander une permission : me permettriez-vous d’aller explorer votre fondement ?
— J’y ...