Train de nuit d'Italie
Datte: 02/09/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
inconnu,
vacances,
train,
Oral
pénétratio,
fsodo,
prememois,
occasion,
Auteur: Stemcel, Source: Revebebe
... phrase mot après mot, ce qui rendait mon compliment laborieux mais quand elle en comprit le sens, elle rit de bon cœur.
•— Il y a beaucoup de jolies filles de ton âge à Paris.
« C’est ce que je croyais avant de venir en Italie, mais pas une ne se compare aux italiennes » lui dis-je et j’ajoutai « et puis les jeunes filles sont mignonnes mais une femme ne devient vraiment belle que plus tard, il faut du temps à la beauté pour s’épanouir ».
Nous étions seuls dans le compartiment et pour mieux discuter avec elle et lui faire de la place je suis allé m’installer sur le siège d’en face. Elle me demanda si j’avais une copine à Paris et si j’étais amoureux. Je lui dis que non, je n’avais pas de copine à Paris et qu’avant de monter dans ce train je n’étais pas amoureux mais que j’étais en train de le devenir. Elle sourit et me fit « pssttt, pssttt » en posant son index sur ma bouche.
Je lui dis que je lui en voulais un peu. Elle parut surprise et me demanda pourquoi. Je lui dis que j’avais pris le train le plus lent pour pouvoir profiter des paysages de Toscane au coucher du soleil mais je n’ai pas pu détacher mes yeux d’elle et à cause de toi je n’ai rien vu de la Toscane. Elle rit et me dit :
•— Il ne reste plus qu’à revenir.
Elle semblait maintenant très gaie, d’humeur badine, flattée par mes compliments. Je continuais à la draguer ainsi, elle prenait un plaisir évident à pousser ce jeu. Je lui demandai si elle était heureuse, elle se tut, j’avais touché un ...
... point sensible. Elle se rembrunit et détourna les yeux. Je lui dis que je la trouvai superbe et que si j’avais la chance de pouvoir être aimé d’une femme comme elle, je saurais la rendre heureuse. J’essayai de l’embrasser mais elle se déroba encore, je voulus lui prendre la main mais elle la retira vivement.
•— Je suis trop vieille pour toi et je suis mariée, dit-elle en forme de conclusion.
Elle partit dans le wagon restaurant pour prendre une tisane. Je me disais c’est raté. Elle revint un instant après, elle baissa le store, s’assit à nouveau en face de moi contre la fenêtre. Elle s’installa pour dormir en prenant soin cette fois-ci de s’appuyer sur l’accoudoir de l’autre côté.
Je voulus essayer moi aussi de dormir, le train s’était immobilisé, l’air était lourd et je m’efforçai de penser à autre chose. Mais je ne pus m’endormir et j’entrouvris sans cesse les yeux pour la regarder dans son sommeil.
Je fantasmai sur sa bouche, ses cheveux et l’odeur de son corps si proche. Je sentis mon désir pour elle me tourner la tête comme un alcool fort. Après un long moment je m’assoupis, mais je me réveillai perturbé, transpirant, la tête encore pleine de rêves érotiques. Même en fermant les yeux, son parfum dans cet air lourd m’excitait. Elle avait relevé les jambes pour les étendre sur le fauteuil d’en face et sa jupe avait glissé jusqu’à mi-cuisse. Son visage était calme, son corsage dépassait et soulignait son sein gauche. À un moment j’avançai doucement ma main vers sa ...