1. Train de nuit d'Italie


    Datte: 02/09/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, inconnu, vacances, train, Oral pénétratio, fsodo, prememois, occasion, Auteur: Stemcel, Source: Revebebe

    ... robe pour la faire glisser plus encore le long de ses cuisses.
    
    Je découvris sa culotte de soie qui brillait faiblement sous la clarté lunaire. Je pouvais deviner la moulure fine de son sexe, précise et délicate comme un coquillage dessiné par Raphaël, ses lèvres et son pubis moulés dans la soie. Je bandai atrocement et mon sexe comprimé dans mon caleçon tendait la toile de mon short. N’en pouvant plus je sortis mon sexe sur le côté du short, sans ouvrir ma braguette et je me branlai doucement en la regardant dormir. Ma bite était tendue à m’en faire mal et je voyais son beau visage assoupi, les lèvres entrouvertes et je rêvais de glisser doucement mon gland dans sa bouche et que sans s’éveiller elle me suce.
    
    Subitement pris de honte je rentrai mon sexe dans mon short. « Qu’est-ce qui me prenait de me branler ainsi devant une femme ? ». Je sortis du wagon pour aller prendre l’air. Je restai un instant à la fenêtre du train. J’ouvris une fenêtre du couloir et j’humai l’air du soir tout embaumé de senteurs méditerranéennes. Je passai ainsi un bon quart d’heure, les yeux fermés sans un mouvement. Un peu calmé je me rapprochai ensuite de notre compartiment pour essayer de dormir à nouveau. Elle avait baissé le store de la porte pour faire plus d’obscurité dans le compartiment. J’attendis un instant avant de rouvrir la porte. Un interstice laissait voir l’intérieur du compartiment et je pouvais la distinguer, je devinais l’étoffe claire de sa culotte et je crus la voir ...
    ... s’animer d’un léger mouvement. En accoutumant mon regard à l’obscurité je pus la voir distinctement. Les cuisses en l’air, impudique, une main dans sa culotte et l’autre pressant un mamelon, elle se caressait. Les yeux fermés elle se donnait du plaisir. Quel choc ! Ma bite que j’avais si patiemment calmée bondit dans mon short.
    
    Je vis son visage se crisper sous l’excitation. Je fis des bruits de pas dans le couloir, je me raclai la gorge et je dis « ciao » bien fort à un compagnon imaginaire. Puis, ainsi sûr de ne pas la surprendre, je me réinstallai à côté d’elle. Elle faisait semblant de dormir dans la même pause où je l’avais laissée.
    
    J’attendis un peu puis je posai ma main sur la sienne. Elle eut un petit sursaut dans son sommeil feint mais cette fois-ci elle ne la retira pas. Je lui caressai doucement le bras avec la paume puis avec le dos de la main. J’entrepris ensuite de caresser ses épaules puis ses seins. Je devinais dans la pénombre la chair de poule sur ses bras. Elle fermait les yeux et se laissait faire. Ses tétons étaient tendus et quand je les malaxais entre le pouce et l’index ses narines frémissaient.
    
    J’ai posé ma bouche sur la sienne et je l’ai embrassée suavement, longtemps. Elle a posé une main impatiente sur ma bite et elle l’a sortie de mon short. Je savais qu’elle aussi m’avait maté et qu’elle avait été excitée par le spectacle de cette bite tendue vers elle. Elle serra fort mon membre comme pour en éprouver la taille et la fermeté. Je l’embrassai ...
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