1. Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)


    Datte: 01/09/2020, Catégories: fh, hplusag, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... d’incisives. Baiser aspirateur, ses dents s’arrêtèrent sur ma langue à la limite la morsure. Son bassin entama une danse d’automasturbation désespérée sur mon ventre. Je n’avais pas mon mot à dire. D’ailleurs, parler la bouche pleine ! Elle avait pris les choses en main. Plutôt mes seins dans lesquels elle avait planté ses ongles et qui lui servaient de poignées qu’elle utilisait pour coulisser sur mon abdomen.
    
    À chacune de ses navettes, ses fesses repoussaient ma bite plus loin. À chaque passage, elle s’introduisait chaque fois un peu plus profondément dans sa raie jusqu’au moment où elle alla trop loin. Mon phallus turgescent se trouva pointé contre son anus. Sa poussée était tellement violente que, bien malgré moi, mon gland força sa voie étroite. La surprise l’immobilisa une seconde. Je crus qu’elle allait se déculer, car jamais, nous n’avions montré un goût quelconque pour la sodomie lors de nos ébats. Mais que nenni. L’étonnement initial passé, au contraire, elle poussa encore plus fort et c’est ma bite entière qui s’enfonça dans ses sphincters.
    
    Je repoussai sa bouche. J’allais parler. Je rencontrai son regard. Ce que j’y lus, la colère, la désespérance m’incitèrent à me taire. Toujours cramponnée à ma poitrine, elle se redressa et s’embarqua dans une chevauchée douloureuse. Enculée à sec comme elle l’était, uniquement lubrifiée par mes prémices, chaque mouvement déclenchait une souffrance qui se révélait aux tressaillements de son visage. Je restai totalement ...
    ... immobile, ne voulant pas en remettre, mais elle continuait à me pistonner furieusement comme si sa vie en dépendait. Les larmes coulaient de nouveau sur ses joues.
    
    Mon excitation amoureuse retombait même si mon dard irrité par les frottements de son canal anal demeurait apte au service. Je ne pouvais la laisser « s’enfoncer » comme ça. Lui parler n’aurait servi à rien. Je la repoussai encore. Même réaction. Je ne m’y arrêtai pas et, pour la première fois sans doute, j’utilisai ma supériorité physique de mâle. Elle résista. Je parvins, non sans mal, à me retirer de son cul. Elle me tordit les seins avec une telle rage que le sang coula. Le pugilat s’arrêta là. Quand elle se rendit compte de ce qu’elle avait fait subir à mes tétons, elle s’écroula lamentablement sur moi : une poupée de chiffon. Elle murmura :
    
    — Pardon, pardon, pardon…
    
    Je la câlinai, câlinai. Je n’essayai pas de la raisonner. Nous partagions le même mal-être. Quelle crédibilité aurais-je eue ? J’avais vu ma gueule ! J’étais très fort pour la materner, elle se calma assez rapidement et me rendit mes caresses. Ses sanglots avaient annihilé son agressivité. La tendresse reprit la place qu’elle occupait habituellement dans nos joutes.
    
    — Viens ! Prends-moi ! Je veux te sentir en moi, profondément.
    
    La position du missionnaire, un classique à l’efficacité certaine. Poils contre poils, ses lèvres collées à ma toison, ma bite touchait ses ovaires.
    
    — Ne bouge pas, s’il te plaît !
    
    J’accédai à son désir. ...
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