1. Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)


    Datte: 01/09/2020, Catégories: fh, hplusag, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... retour. Impossible de détacher mon regard de son triangle des Bermudes. Son mont de Vénus proéminent distendait le tissu dessinant les contours de sa chatte. Elle ne portait pas de culotte et je pouvais quasiment affirmer que sa toison était foisonnante.
    
    Une fois assise, le supplice continuait. Ses nénés avaient besoin de respirer et il tentait tour à tour de s’échapper de leur gangue. À chaque fois, miraculeusement, les bretelles jouaient leur rôle. À chaque fois, Gise me gratifiait d’un regard que je qualifierai pudiquement de salace. Lorsqu’elle se penchait vers moi, le summum était atteint : la ligne ouverte entre ces mamelons m’assurait une vue plongeante sur son nombril. N’eut-ce été son joli ventre rond qui faisait barrage, j’aurais pu admirer sa toison. Je ne pensais plus à mes amours asiatiques et improbables. Pour la première fois depuis mon départ de Moselle, je bandais sans état d’âme.
    
    Nous dévorâmes notre part de bûche sans la savourer. La dernière bouchée à peine avalée, Gise se leva pour faire le café. Au retour, elle s’arrêta devant sa chaîne HI-FI et lança un CD. Aux premières notes, je reconnus le morceau et à quoi il s’associait : une putain de soirée où nous aurions probablement couché ensemble si ma femme n’avait pas été présente.« Only you », un sacré slow, où son ventre avait fait subir à ma bite un massage « pousse-au-crime ». Massage tellement efficace que j’avais dû abandonner ma cavalière avant la fin de la danse pour éviter un déversement ...
    ... inopportun et humiliant. Manifestement, le souvenir, pour elle aussi, restait vivace.
    
    — Ça ne te rappelle rien ? Allez, on se le fait avant de boire le café, enchaîna-t-elle en me tendant la main.
    
    Quarante ans après, je me retrouvais dans la même situation : nos corps collés, sa lourde poitrine pressée contre la mienne, sa chatte ondulant contre ma queue durcie par le désir, nous tanguions plus que nous ne dansions au milieu de son salon. Cette fois, il n’y avait personne pour empêcher l’inévitable.
    
    — Tu ne crois pas qu’on assez perdu de temps, me glissa-t-elle à l’oreille. On n’a plus vingt ans ! L’occasion ne se représentera peut-être pas.
    
    Mai et Kim se pointèrent au galop. Gisèle, sentant ma réticence, rajouta :
    
    — Ne t’affole pas, je ne veux pas prendre la place de tes deux Chinoises. Considérons que c’est notre cadeau de Noël. Demain, on oublie.
    
    Et elle m’embrassa à pleine bouche. Avant de céder à son baiser, j’eus une dernière pensée : mes Chinoises ! Pas le moment de cogiter ! D’ailleurs comment voulez-vous cogiter alors qu’une langue perforante/performante explore fougueusement votre bouche, que des mains impérieuses ont déjà éjecté votre t-shirt de votre fut’. Totalement irréaliste. Le supplice de ce mont qui me branlait. Il fallait que ça cesse, sinon on allait jouer brève rencontre. Je plaquai mes mains sur ses fesses charnues et bloquai son bassin contre le mien, empêchant tout mouvement supplémentaire.
    
    Elle comprit le message. Je libérai sa ...
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